Mallory Stevens
Nombre de messages : 13 Age : 37 HUMEUR : Hmmm...Je dirais que ça peux aller. PHRASE FÉTICHE : Sois belle et consomme. LOVE : Sera-t-il le même demain ? Date d'inscription : 15/04/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Je l'aurais bien fait seulement quelqu'un m'a devancé...A moins que... Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: Oh, je ne sais plus. Sans doute au pays des lapins bleus. =) Culpabilité: (95/100)
| Sujet: Oh ? Mais que vois-je? [Libre] Ven 20 Avr - 21:44 | |
| Miss Stevens n’avait pas l’habitude de trainer dans ce genre d’endroits. Les brindilles y étaient beaucoup trop fréquentes, et un accident est si vite arrivé ! Pourtant, en ce matin particulièrement ensoleillé, Mallory s’était aventurée un peu trop loin. Voulant se rendre faire les boutiques, elle s’était rendu compte que finalement elle n’arrivait pas à destination.
Vêtue d’une simple robe en soie transparente, et de jolies bottes en velours, elle essaya malgré tout de repousser les branches sur son passage. Cela devait faire près de quelques heures que Mallory tournait en rond, et ses bottes n’étaient pas le meilleur choix en chaussures de marche. Rongée par la fatigue, elle s’assit pas terre, prenant soin d’avoir épousseté l’endroit ou elle installera son derrière. Le soleil avait une hauteur importante, et il se trouvait actuellement au dessus de la tête de brune de Miss Stevens. Elle remercia Dieu d’avoir apporté dans son sac à main Louis Vuitton, ses magnifiques lunettes de soleil D&G.
Elle les installa sur le bout de son nez, mais ne cessa de plisser les yeux, contrainte par la densité des rayons du soleil. Son teint légèrement mat lui allait très bien, et elle ne souhaitait pas l’exposer au soleil pour le noircir un peu plus. Elle chercha en vain du regard un endroit à l’ombre, mais dut se résoudre à rester au soleil. Elle soupira, et d’un coup de main sec, remit ses cheveux derrière ses épaules.
Mallory finit par ouvrir son sac en cuir pour en sortir son portable, et composa machinalement le numéro d’une agence de taxi. Pourtant, la colère commença lentement à monter quand elle lut ce qui suivit. Elle lança d’un ton effaré :
« Quoi 'plus de réseau' ? Tu te fous de ma gueule saleté de portable ? »
Elle appuya plusieurs fois sur uns des nombreux boutons, puis mit sa tête dans ses mains après avoir remis son mobile dans son sac. Elle se mit à gémir, se maudissant de ne pas être resté au lit bien au chaud. Soudainement, un petit craquement retentit. Elle n’y prêta pas attention, mais essuya ses lunettes et ses yeux. Ce fut le deuxième craquement qui fit bondir son cœur dans sa poitrine. Ce fut un craquement plus fort et plus sec que le premier. Pensant que c’était un animal sauvage, elle ramassa un bâton et le jeta vers le buisson d’où provenaient les bruits irréguliers.
« Qui va là ? » | |
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