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| Interrogatoire particulier [PV.Joanna] | |
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Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
Nombre de messages : 673 Age : 35 HUMEUR : Insomniaque mais comblé^^ PHRASE FÉTICHE : L'érotisme est un pouvoir sexuel sans bornes, illimité, démesuré. Faut il le craindre ? LOVE : La haine nous ménera-t-elle à l'amour ? { Joanna } Date d'inscription : 30/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sur, c'est pour ça que j'enquête pour savoir qui l'a tuer...Pfff... Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: Tu veux vraiment savoir ? Culpabilité: (40/100)
| Sujet: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Ven 30 Mar - 14:25 | |
| Referme d’un coup sec le dossier posé devant moi ! Je l’ai lu, relu et re-relu ! Mais rien à faire, j’avais beau essayer de lire entre les lignes, je ne voyais pas qui aurait pu tuer Georgia Kelly…Enfin si, je vois très bien, trop même, des suspects ? Il y en a des tonnes ! Ils ont tous un alibi bancal, ils ont tous une raison de la tuer plus ou moins futile c’est vrai mais une raison quand même. Et j’ai beau me creuser encore et encore la tête, je ne trouve pas, j’enchaîne les nuits blanches, les déplacements, j’écume les lieux où elle avait l’habitude d’aller, j’interroge n’importe qui, n’importe quand et je n’ai aucun résultat ! Ils se renvoient tous la balle, on est sûr de rien et on ne peut malheureusement faire confiance à personne, ça en devient lassant et épuisant mais je ne compte pas lâcher l’affaire. Je passe une main sur mon visage, craquant un instant ma barbe naissante, en fermant les yeux un instant. Le manque de sommeil me pèse vraiment mais peu à peu je tombe dans l’insomnie tant cette affaire me tient à cœur. Range le dossier en question dans le tiroir de mon bureau que je ferme à clés, me lève de ma chaise en m’étirant, remettant mon porte flingue par-dessus ma chemise noir qui dépasse de mon pantalon, les manches remontaient jusqu’aux coudes. Me dirige vers la machin à café, m’en sers un en grimaçant lorsque je porte le liquide noir à mes lèvres, un vrai jus de chaussette ! M’empare d’un beignet et le trempe dans le liquide en allant voir ce que je devais faire après. Mord dedans, mâche tranquillement en regardant mon emploi du temps et m’étouffe presque en voyant la suite ! Repose ma tasse et mon beignet sur mon bureau, soupire, ressort le dossier et un autre concernant la jeune femme que je dois interroger. Me fais craquer les vertèbres en me massant les tempes tout en me dirigeant vers la salle d’interrogatoire, rentre et claque la porte.
Jette les deux dossiers sur la table, juste devant la jeune fille, qui est assise, les bras croisés sur sa poitrine. Sors mon paquet de clope de ma poche, en sors une et l’allume en rangeant mon paquet dans ma poche. Tire longuement sur ma cigarette, la garde un instant à la bouche et ouvre une énième fois le dossier de la victime, étale les photos prises sur la scène du crime devant la jeune femme en soupirant. Pose les deux mains à plat sur la table, me penche en avant et la regarde sans émotion, demande alors d’une voix lasse…
Bon, on va tout recommencer depuis le début ! Où étiez vous le soir de la mort de mademoiselle Kelly ? Et on évite les phrases sarcastiques parce que ça commence à bien faire ! Alors maintenant, je veux, non j’exige que lorsque vous ouvrirez la bouche ce n’est aps un mensonge qui en sortira mais la stricte vérité ! Plus vous serez réticente et plus vous resterez entre ses quatre murs, c’est pourtant pas compliqué ça fait déjà deux heures que vous êtes là alors écourtais votre visite et dites moi la vérité mademoiselle Mills ! | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
Nombre de messages : 732 HUMEUR : Massacrante. Genre que je suis innocente, ça se voit. PHRASE FÉTICHE : « Il faut que je sois cruelle rien que pour être humaine. » LOVE : Le fait que tu me détestes me rend totalement dingue de toi. { Sam } Date d'inscription : 26/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sûre, je n'ai que ça à faire. Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: En quoi ma vie privée vous regarde? J'étais entrain de m'acheter des dessous sexy, si vous voulez vraiment savoir. Culpabilité: (75/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Ven 30 Mar - 15:11 | |
| Joanna attendait entre ces quatre fichus murs depuis maintenant deux bonnes heures. Elle avait eu le temps de compter combien il y avait de briques sur les murs au moins trois fois, et puis le nombre de petits carreaux dans la fenêtre de la porte six fois. On l'avait interrogé une première fois, mais ça avait été une femme, malheureusement. Joanna aurait bien aimé revoir le beau brun qui lui avait passé les menottes, disons qu'il lui plaisait beaucoup. La belle s'imaginait toute sorte de chose, des choses qu'ils pourraient faire avec ces mêmes menottes qu'elle portait encore à ses poignets, et elle trouvait ça vachement marrant. Joanna n'avait rien d'autre à faire que d'examiner méticuleusement ses ongles et regarder l'heure chaque minute. Elle devait se tordre le poignet pour arriver à jeter un coup d'oeil à sa montre. Ces policiers pouvaient être vraiment cruels, l'enfermer dans une salle d'interrogatoire tout à fait répugnante et lugubre. En même temps, ç'en devenait presque qu'excitant.
Bon sang, le temps ne passait vraiment pas vite! Quand est-ce qu'on la laisserait sortir? Elle n'avait pas tué cette fille, même si elle n'aurait pas eu de mal à le faire tellement elle la détestait. Mais non, Joanna n'avait pas tué Georgia, c'était simple, et eux, ils se compliquaient la vie à la garder ici éternellement. Ils perdaient vachement leur temps parce qu'elle n'avait absolument rien à leur dire. La belle faisait claquer le talon de sa chaussure impatiemment contre le sol de ciment quand l'agent Galloway pénétra la sombre pièce. Apparemment, on avait accompli les voeux de Joanna. Elle le regardait avec son habituel petit sourire ironique et sexy sur son radieux visage ainsi qu'avec une lueur de malice dans les yeux. Elle sentait qu'elle allait bien l'énerver. Joanna ne l'aimait pas plus elle non plus, mais par pure vengeance, elle le torturerait avec ses sarcasmes chiants.
Elle observa d'abord son joli chemisier noir qui lui donnait ce petit air mystérieux qu'elle adorait. De plus, on pouvait parfaitement voir qu'il était assez musclé, pas très étonnant. Joanna le dévorait du regard avec envi, on pouvait parfaitement le lire par l'expression qu'elle affichait. Comme elle l'avait malheureusement prédit, Sam recommença le même baratin. Il lui demanda où elle était, si elle l'avait tué, et bla bla bla ... Il était si ennuyant. Par pure arrogance, lorsqu'il se pencha vers elle, Joanna lui bailla en plein visage, puis afficha à nouveau ce petit sourire. S'il voulait la vérité, il n'avait qu'à le demander plus tôt ....
" Vous voulez la vérité? Vous êtes vachement sexy, et si vous m'enleviez ces menottes, je pourrais vous montrer ce que je sais faire avec ce genre de jouet. En votre compagnie, je n'ai nullement envi d'écourter mon séjour au poste, agent Galloway. "
[Le pauvre, vraiment. Joanna se sentait d'humeur absolument peste et insupportable. Et puis il y avait ce petit quelque chose qui l'agaçait chez elle et qui lui donnait envi de l'emmener faire un tour très rapide dans son lit. Les sentiments de la belle se contrastaient et elle adorait cette sensation. Ses menottes commençaient vraiment à lui faire mal, elle ne sentait même plus ses pauvres petits poignets. Cette situation l'agaçait finalement, elle allait rapidement perdre patience. Ce petit jeu, elle l'avait joué des milliers de fois, mais dans des situations beaucoup plus amusantes. Joanna balança sa tête vers l'arrière e soupirant bruyamment, tentant de se débarrasser de ces trucs de métal. Le pire, c'est qu'elle était sexy quand elle s'énervait.
" Bon, c'est plus marrant, là. Vous m'enlevez ces trucs, ça fait [b]vachement mal. Et non, je n'ai pas tué cette pétasse de Georgia Kelly, et je m'en tape royalement que personne ne me croit! " | |
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| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Sam 31 Mar - 6:46 | |
| A peine rentré dans la salle d’interrogatoire j’évite déjà les regards de la jeune femme, elle est assez franche et déstabilisante, en un regard elle arrive à m’allumer, c’est dingue je vous jure ! J’avais déjà interrogeait une fois la jeune femme il y a de ça quelques heures, malheureusement c’est encore mon tout, mademoiselle Mills est récalcitrante et pas très coopérante. Elle a vu trois policiers différents et ils ont eu droit à trois histoires différentes ! Le pire, c’est qu’elle le fait exprès, elle aime faire chier son monde et le risque n’a pas l’air de lui faire peur, c’est ça d’être une enfant pourri gâté et accro à la carte bleu de son petit papa chéri ! Ce qu’elle pouvait m’énerver ! Son attitude hautaine, ses sarcasmes, son comportement, tout en elle m’énervait ! Mais bon sang ce que j’avais envie d’elle ! Aller, il faut que je garde la tête froide, je la déteste, elle me déteste, alors il n’y a aucune raison qu’on se saute dessus…Sauf peut être la chaleur étouffante dans cette pièce, la beauté de la jeune femme, ses formes généreuse et…STOP ! Ferme un instant les yeux en allumant ma cigarette après avoir jeté le dossier sur la table, étalant les photos de la scène de crime devant la jeune demoiselle. Secoue un instant ma tête pour m’enlever toutes les idées non professionnelle qui infiltre ma tête ! Me calme peu à peu, la clope m’y aidant beaucoup avouons le, tire d’ailleurs dessus, respire lentement en savourant puis recrache la fumée avant de parler. La vouvoie comme si de rien était en prenant mon air méchant et sérieux, il faut absolument que j’obtienne un résultat parce que je rame sec dans cette histoire de meurtre et mes envies pour Joanna ne doive pas interférés dans mon enquête. Je suis direct, froid et impassible, la regardant dans les yeux en essayant d’y voir un quelconque indice, mes yeux noirs n’affichait aucune émotion alors qu’intérieurement je bouillonnait.
Je voyais très bien son regard se poser sur moi, me dévorant presque du regard et c’était d’autant plus difficile de résister en sachant que cette envie est réciproque, seulement je devais tenir. Surtout que cet entretiens était filmé et enregistré, alors je n’avais pas intérêt à faire de connerie, derrière la glace ornant le mur face à Joanna, il y avait derrière mon boss et deux autres équipiers plus un psychologue. Ils analysaient tout et prenait des notes, alors je me dois d’agir en professionnel ! Soupire en passant une main sur mon visage lorsque je l’écoute, me retourne vers la glace et pose mes deux mains dessus en baissant la tête. A l’abri du regard de la jeune fille, en effet un petit sourire en coins se forma sur mes lèvres. Me racle la gorge et me décolle de la glace en reprenant mon visage impassible, tire sur ma clope et me retourne vers Joanna.
Arbore mon attitude mystérieuse, restant un moment silencieux, arquant tout de même un sourcil moqueur quand elle avoua que les bracelets lui faisait mal, c’était fait pour et je ne risquais pas de les lui enlever si elle ne coopérait pas, ça c’est sûr et certains ! Mais Joanna n’avait pas l’air d’avoir envie de faire ce que je voulais qu’elle fasse, enfin ça dépend ce que je lui aurais demandé remarque ! Mais ce n’est ni le lieu, ni le moment de penser ce genre de chose, donc je me re-concentre et prend la chaise devant moi. La retourne et m’assoie, les jambes entourant le dossier, mes bras posés négligemment sur celui-ci. Tire à nouveau sur ma clope, puis laisse la cendre tomber sur le sol dur et froid de la salle d’interrogatoire. Ne la quitte pas des yeux, elle arrive à me troubler mais je fais tout mon possible pour ne rien faire paraître et l’énerver un peu en adoptant une attitude désinvolte et hautaine. Soupire alors devant elle en haussant les sourcils, fais mine de réfléchir puis réponds ensuite…
Tout ça vous amuse j’imagine ? Mais vous n’avez pas l’air de vous rendre compte de la situation, si vous ne coopérez pas on va vous faire suivre jour et nuit, les journalistes vont également vous épiez et vous n’aurez pas beaucoup d’amis. Ils auront sans doute peur de vous. De plus, un signe de votre part et je vous fait passé la nuit en taule ça vous rafraîchiras sûrement les idées ! Et vlan ! La elle pourrait le détester pour quelque chose de valable, seulement il n’aimait pas le ton qu’elle prenait avec lui et devait faire preuve de fermeté à cause des personnes observant la scène derrière nous. Finis ma clope et l’écrase sur la table sans état d’âme, vu l’état du mobilier un peu plus, un peu moins, ça ne changera pas grande chose ! Me fais craquer les doigts en soutenant le regard incendiaire de la jeune demoiselle, c’est fou ce que cette situation pouvait être existant ! C’est vrai, elle, moi, dans une salle close et lugubre, la chaleur, l’odeur du tabac froid et une table en plein milieu. Je trouve que ça a quelque chose de sexuel et de dangereux. Me calme à nouveau, le corps de la jeune femme n’était pas très recouvert ce qui n’arrangeait rien, mais je faisais de mon mieux pour rester calme et détendu, en apparence du moins. Reprend alors d’une vois toujours aussi dur et autoritaire…
Si vous répondez à mes questions je vous enlèverez les menottes et vous aurez même droit à boire, manger et fumer si vous le voulez. Mais ici c’est donnant, donnant, vous faite ce que je vous demande, vous répondez à mes questions et tout deviendra beaucoup plus simple pour vous comme pour moi. Alors, allez y je vous écoute. | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
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| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Sam 31 Mar - 7:34 | |
| Plus Joanna le regardait, plus elle le détestait et avait envi de lui sauter dessus. Qu'est-ce qui lui arrivait là? Quand elle détestait un mec, elle avait l'habitude de le transformer en bouilli avec ses sarcasmes tranchants, elle n'avait pas envi de baiser avec lui! Mais elle aimait bien ce sentimen contraste, c'était dix fois plus excitant étant donné la situation dans laquelle tous les deux étaient. Le jeune homme était tout à fait déstabilisant. Sa façon de se tenir debout, de porter sa clope à sa jolie bouche gourmande, son regard et puis ce côté mystérieux ... Si Joanna continuait à avoir ce genre de pensées, elle trouverait un moyen de retirer les menottes et se le feraient ici, aux yeux de ses très sérieux patrons. Cette petite pièce était vraiment excitante. Quatre murs les entourant, une table et quelques chaises ... juste ce qu'il faut! Joanna secoua elle aussi la tête, faisant mine de chasser la mèche de cheveux folle qu'elle avait dans le visage, alors qu'elle chassait de vilaines pensées impures de son esprit. Joanna n'y était pour rien, cet agent Galloway était vraiment sexy à croquer. Oui, Joanna aurait bien goûté et savouré chaque partie de son joli corps parfait. Bon sang, ce qu'elle était perverse! Joanna remarqua qu'il avait l'air quelque peu déstabilisé par sa présence, ce qui était tout à fait normal pour un mâle de son genre. La belle était vraiment sublime et peu vêtu. La veille elle avait simplement enfilé une jupe de jean très courte ainsi qu'un dos-nu. Heureusement qu'elle avait des vêtements qui avaient de la classe, elle aurait eu l'air de quoi sinon?
Joanna, perdre ses amis? Elle n'en avait déjà pas beaucoup, et Fanny ne l'aurait jamais laissé tomber. Si il s'avérait que c'était vraiment elle qui avait tué georgia, ce qui n'était pas le cas, Fanny et elle rirait pendant des heures et des heures. C'était leur souffre-douleur. Elle n'avait que 18 ans, c'était encore une gamine inexpérimentée. Elle était plus jeune que Fanny et Joanna et se prenait déjà pour Miss Monde, croyant contrôler la totalité de la ville alors que c'était complètement faux. Juste à y penser, le regard de Joanna devenait flamboyant et avec trop d'imagination on pouvait voir la fumée s'échapper de ses oreilles. Même morte, cette garce lui pourrissait toujours la vie! En apprenant sa mort Joanna avait sauté de joie dans son appartement. Oui, elle avait souvent souhaité sa mort et n'en avait aucun remords. Elle aurait bien pu continué à agacer le charmant policier, mais elle avait seulement envi de sortir d'ici à présent. Mais bon, elle pouvait quand même le provoquer un peu...
« Si je réponds aux questions, j'aurai droit de vous avoir toute à moi pour une soirée? Voire une nuit ... »
Joanna afficha un sourire coquin puis lui fit un joli clin d'oeil. Comme elle adorait jouer les provocatrices. Pour accentuer le tout, Joanna eut une idée vraiment maligne. D'un geste lent, elle poussa sa chaise puis se leva doucement avant d'aller poser ses jolies fesses bien rondes sur la table. Elle s'était placée juste à côté de l'agent Galloway, de façon à ce qu'il puisse voir ses magnifiques cuisses peu vêtues. Avec classe, elle croisa les jambes. Il fallait avouer que Joanna avait un très joli corps. Peut-être qu'il accepterait son offre? Ce serait franchement rêver, ses patrons l'observaient à l'oeil. Ils devaient sûrement être conscient que leur chef de police était un mâle chaud adorant dévorer les jeunes femmes comme Joanna. Tant mieux! Un joli mâle dans son genre, elle se le serait bien fait là, ici. Mais elle le détestait tellement avec son petit air fendant!
« Alors, vous voulez savoir où j'étais? Là où vous me retrouverez chaquoi soir, en boîte. À moins que ... J'avais déjà peut-être regagné mon appartement avec le beau blond que j'ai rencontré ... Je sais plus, mais j'avais abusé de l'alcool. Alors, je n'ai aucun alibi, vous allez me traiter comme une meurtrière? C'est excitant. » | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
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| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Sam 31 Mar - 8:40 | |
| En voyant son regard je compris que j’avais enfin toucher à une corde sensible : ses amis. A la vue de cette information je pense aller rendre une petite visite à tout ceux qui font partit de son entourage, je prends (non pas encore^^) Joanna comme suspecte numéro 1 que ça lui plaise ou non ! Elle a des tas de raison, premièrement elle détestait tout bonnement et simplement Georgia, elle lui menait la vie et apparemment elle et sa meilleure amie s’en donnaient à cœur joie. Plus d’une fois elles l’ont rabaissé, peut être à juste cause mais lorsque quelqu’un de plus jeune, jolie et qui ne manque de rien vous rafle pas mal de chose sous le nez et vous fait de l’ombre c’est assez gênant ! S’être fait passé devant par une jeunette de 18 ans ! Les deux jeunes femmes devaient l’avoir en travers, elles avaient donc toutes les deux une bonne raison de tué la jeune femme. Toutefois, dans cette ville je m’aperçois que pas mal de gens auraient des raisons d’en vouloir à la jeune femme, de nos jours on tu les gens pour un rien et c’est fou mais toutes les raisons que l’on trouve sont forcément débile ! Sauf peut être la thèse de l’argent, mais rien n’avait été volé à ma connaissance, un accident ?! Je n’y crois guère, on peut éliminer la thèse de la bagarre, elle n’a aucune marque ! Décidément cette affaire risque d’être longue et je ne suis pas prêt de dormir si ça continu comme ça, j’ai beau me creusé la tête ils ont tous le profil du meurtrier présumé ou de la meurtrière qui sait…Sors de mes pensées lorsque Joanna m’adresse la parole, fronce les sourcils à la fin de sa remarque, je n’ai pas fais attention à ce qu’elle a dit…Mais en comprenant et en me rappelant ouvre de grands yeux en priant pour que mes patrons n’est pas entendu ! Dans le genre discrète cette fille je vous jure !
M’apprête à répondre mais elle me prend de cours en se levant, arque un sourcil interrogatif, ne la quittant pas du regard, faisant un effort surhumain pour ne pas quitter ses yeux et laissé dériver mon regard sur son corps parfait. On peut dire qu’elle avait tout pour elle, une taille et un poids idéal, des formes généreuse, bien proportionné et un visage magnifique. Des traits fins, un jolie petit nez, un regard vert émeraude qui auront toujours le don de me troubler quoique je fasse et un sourire qui met en valeur ses belles dents blanches et ses fines lèvres rosies et mise en valeur par une touche de gloss apparemment. Elle n’avait de toute façon pas besoin de plus d’artifice pour se rendre désirable, du moins à mes yeux. Avale difficilement ma salive en la voyant venir vers moi, ne montre pourtant rien, gardant cette assurance qui se dégage de moi, ce regard confiant et dur, un visage vide de tout sentiment. Je ne veux pas qu’elle puisse s’imaginer qu’en faisant ça elle pouvait gagner la partie ! Se ne serait pas aussi facile pour la jolie brune, loin de là !
Lorsqu’elle s’assoit en face de moi, je fais tout pour rester impassible, la regardant toujours dans les yeux, mais quand elle posa ses fesses sur la table s’en fut trop et mon regard descendit le long de ses jambes parfaites, pour finir sur ses fesses…Secoue légèrement la tête en me levant de ma chaise, reprenant ainsi contenance, je ne veux pas que mes supérieures me voient ainsi ! J’ai beau la détester, je n’ai envie que d’une chose c’est de la prendre sur la table ici et tout de suite ! Bon sang ! Il manquait plus que ça, avoir envie d’une des suspecte d’un meurtre, j’avais pas assez de soucis comme ça ! Me renfrogne un instant lorsqu’elle parle d’un beau blond, grave erreur, reprends mes esprits, me mets en face d’elle tel un bloc, les bras croisés sur mon torse. Mon prote flingue sur le dos, je les tiens avec mes mains, pas au cas où mais juste pour être plus à l’aise et pour vérifier en même temps si ils sont chargés…
Les meurtrières ne m’excitent pas, désolé de vous décevoir au passage. Vous n’avez aucun alibi, des tas de raisons pour haïr et ainsi tuer Georgia et vous voulez qu’on vous libère ?! Mais bon, c’est normal d’être furieuse quand une gamine d’à peine18 ans vous vole la vedette et vous passe largement devant ! Il faut avouer qu’elle était loin d’être moche, qu’elle avait de l’argent, des amis et de la popularité. Vous étiez en train de perdre tout ça, je verserai presque une petite larme pour m’apitoyez sur votre sort si vous n’étiez pas impliqué dans ce meurtre ! | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
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| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Sam 31 Mar - 9:40 | |
| Effectivement, l'agent Galloway venait de toucher une corde sensible. Ses amis, c'était sa seule famille. Et puis il n'avait absolument pas besoin de lui rappeler qu'ell en'était qu'une râtée qui passerait sa vie à baiser tous les mecs qu'elle croiserait dans la rue. Joanna le savait, elle en était parfaitement conscience. Mais c'était tout ce qu'elle savait faire, elle n'était douée que pour une seule chose, et c'était user de son corps. Joanna n'avait pas eu très belle enfance, et une adolescence très mouvementée. Elle avait enchaîné les familles d'accueil et tous l'avaient rejeté. Avec le temps elle avait pu se forger une certaine carapace. La jolie demoiselle paraîssait intouchable mais elle l'était, sans toutefois le montrer. En déménageant ici, elle avait cru qu'on ne pourrait plus l'humilier. Mais non, cette foutue Georgia avait trouvé le moyen de la rabaisser. À 18 ans, elle était mieux faite qu'elle, elle avait de plus jolies cheveux qu'elle, elle avait du fric et une famille, et elle ne cessait de se vanter qu'elle avait une tonne d'amis toujours là pour elle. Comme si Joanna ne le savait pas, elle avait cru remarquer avec le temps! Elle ne s'était faite qu'une seule amie, mais ne la regrettait pas du tout. En Fanny elle avait vu une partie d'elle-même, les deux jeunes femmes étaient pareilles et leur haine pour la jeune georgia était partagée. Si l'agent Galloway cherchait Joanna, eh bien il l'avait trouvé .. Alors qu'il la regardait, presque avec un filet de bave au coin des lèvres, elle se leva brusquement. Qu'il lui pose les questions idiotes qu'il voulait, qu'il la condamne à mort pour meurtre, elle s'en fichait, mais il n'avait aucun droit de se mêler de sa vie privée.
Joanna le regardait droit dans les yeux avec un regard haineux. Elle en faisait presque peur, jamais elle n'avait détesté quelqu'un comme elle le détestait en ce moment. Même Georgia. Puis finalement, la belle fuya son regard, sinon elle aurait pu lui sauter au cou pour l'étrangler. Elle se mit à explorer la pièce, pour tenter de se calmer, mais elle en était incapable. Joanna aurait bien voul u le voir à sa place. Il avait réussi sa vie lui, il gagnait une tonne de fric qui avait probablement le plus bel appartement de la ville. Joanna n'avait jamai seu rien de tout ça. Jamais on ne lui avait accordé l'amour qu'une enfant fragile aurait mérité, c'était sans doute pour cette raison qu'elle était devenue en quelque sorte une pute qui se tape tous les mecs de son immeuble.
« C'est tellement facile pour vous de dire tout ça alors que vous ne comprenez absolument rien! Ce n'est vraiment pas nécessaire de me rappeler que je suis une putain de râtée bien foutue, je le constate chaque soir dans mon appartement grand comme ma main en passant devant le mirroir. Georgia avait tout ce qu'elle désirait. On l'aimait et franchement, vous avez raison, je ne le supportais pas. Des filles du genre qui ont la vie facile, j'en ai rencontré plusieurs, mais jamais comme elle. J'ai peut-être fait de sa vie un enfer mais elle a bousillé la mieenne. Elle a carrément bousillé la seule putain de vie que j'aurais peut-être pu avoir en venant ici! Alors bon Dieu de merde, posez vos putains de questions et mêlez de votre vie parfaite d'inspecteur de police. Je n'ai pas d'alibi, ça fait de moi une meurtrière? Mais bordel, regardez-vous, ce n'est pas parce que je détestais cette fille que je l'ai tué! »
Joanna bouillait vraiment, et son visage était rouge de colère. Il s'était aventuré sur un terrain très dangeureux et franchement, il aurait dû rester couché ce matin là. La belle prit à nouveau place sur la chaise, toujours aussi enragée. Elle se tordit à nouveau le poignet pour tenter de voir l'heure. Si ça continuait ces fichues menottes allaient lui couper les veines. Après tout, ce ne serait pas une grande perte. | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
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| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Sam 31 Mar - 11:04 | |
| J’avais raison, c’était un point sensible je m’en voulais un peu de l’avoir mis dans un état pareil mais j’étais obligé de la faire réagir ainsi sinon je ne saurais jamais ce que je veux et j’ai besoin d’informations et même si elle m’attire je n’oublis pas que c’est un suspect et que je dois avant tout faire mon travail. Quitte à ce que je fasse du mal aux personnes que j’interroge, après tout je suis flic pas assistante sociale me*de ! La regarde se lever et aller s’asseoir, elle m’en veut ça s’est sûr, elle me prend pour un richard qui a toujours eu ce qu’il voulait dans la vie et qui mène une petite vie tranquille ou je rêve ?! Alors là ça va pas le faire ! Me tourne vers la glace, fais signe de couper la caméra et les micros, ils enlèvent le fumé sur la vitre pour que je puisse les voir, hoche positivement la tête et s’en vont.
Enlève mon porte flingue que je pose sur la table juste devant elle, révélant mes deux Magnum à la jeune femme, remonte bien les manches de ma chemise jusqu’à mes coudes, puis la regarde avec un regard haineux exactement comme le sien. Ouvre le dossier et lui fout devant elle, c’était son dossier, celui qui racontait toute sa vie et ses misère. Attend qu’elle regarde le dossier, qu’elle se rende compte de ce que c’est pour commencer à parler. Me tourne alors vers elle, droit comme un « I », énervé et haineux comme jamais, me prépare alors et dit d’un trait avant qu’elle est pu prononcé la moindre parole…
Je ne te juge pas. Je ne t’ai jamais traité de putain ratée bien fouttue. Maintenant laissez moi vous dire un truc, dites ce que vous voulez, jugez qui bon vous semble mais avec moi abstenez vous ! Je n’ai pas eu la vie facile, je n’ai presque pas connu mon père, ma mère survivait grâce à des cachets antidépresseurs ! Je n’ai pas eu d’innocence, un jour mon père rentrait enfin de la guerre, il avait une permission de 1 mois mais ma mère avait décidé de s’occuper de moi et de divorcer d’avec mon pseudo père. Ils eurent une violente dispute et mon père tua ma mère de deux coups de couteau devant mes yeux ! Il est partit en taule, ma mère direction la morgue et moi direction ce patelin pourri ! J’aurais pu baisser les bras et me laisser aller, mais non je me suis imposé, j’ai fais des études et j’en suis là où je suis aujourd’hui.
Reprend un peu ma respiration, ne la quittant pas des yeux, c’est pas mon style de me confier mais j’ai l’impression qu’il faut un électrochoc à Joanna pour qu’elle sorte de cette léthargie, qu’elle agisse enfin et qu’elle arrête de s’apitoyer sur son sort ! Quand on veut s’en sortir, on s’en sort, d’accord je ne parler plus du tout de l’enquête, j’ai même beaucoup dériver mais si on oubli le fait que je la déteste et que paradoxalement j’ai très envie d’elle malgré la colère et la haine j’avais envie de lui ouvrir les yeux. Il faut qu’elle comprenne que si elle continu sur cette voie elle ne s’en sortira pas. Moi-même je n’ai pas eu de vrai famille, je fais confiance que très rarement mais ce n’est pas un prétexte pour agir comme elle. Reprend alors, un peu plus calmement mais toujours mes yeux plongés dans les siens, avec sérieux et sincérité continue…
Ne pas avoir de famille, ne pas faire confiance, envier les autres, je sais ce que c’est mais si tu te centres sur tes malheur tu n’avanceras jamais. Regarde toi Joanna, tu te laisses complètement aller, tu ne fais que regarder en arrière mais laisse le passé où il est ce n’est pas lui qui changera ton futur mais toi ! Alors bon sang maintenant ouvre les yeux ! Tu vas peut être être accusé de meurtre, tu as juste à répondre sérieusement à des questions et tout sera rapidement finis. Ne laisse pas ta fierté | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
Nombre de messages : 732 HUMEUR : Massacrante. Genre que je suis innocente, ça se voit. PHRASE FÉTICHE : « Il faut que je sois cruelle rien que pour être humaine. » LOVE : Le fait que tu me détestes me rend totalement dingue de toi. { Sam } Date d'inscription : 26/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sûre, je n'ai que ça à faire. Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: En quoi ma vie privée vous regarde? J'étais entrain de m'acheter des dessous sexy, si vous voulez vraiment savoir. Culpabilité: (75/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Sam 31 Mar - 11:50 | |
| Non mais il la prenait pour un prêtre peut-être? Il était en pleine confession avec une femme qui se foutait carrément de sa gueule et qui était suspecte de meurtre. Apparemment il s'en foutait, mais Joanna n'aurait jamais dit ce genre de truc à un étranger à sa place. Okay, il avait eu une vie pourrie jusqu'à présent mais Joanna n'allait quand même pas avoir pitié de lui. Elle avait déjà pitié d'elle-même, c'était bien suffisant. Se traîner les pieds chaque, vivre dans sa peau était devenue une corvée au fil des années. Joanna n'avait pas envi de s'embarquer dans ce genre d'histoire et surtout pas avec lui. Après tout, c'était sa faute si elle était là. Comment voulait-il qu'elle prouve qu'elle était innocente alors qu'elle n'avait aucun alibi, aucune preuve ... Personne ne l'avait vu ce soir là, enfin peut-être mais personne ne pouvait affirmer haut et fort l'avoir vu sans hésitation. Joanna ne pouvait prouver son innoncence, elle était déjà la meurtrière aux yeux des autorités de toute façon. Bon sang qu'elle aurait payé cher pour être dans son appartement dans son lit en ce moment même, elle n'aurait pas eu à endurer tout ça. C'était un enfer qu'elle vivait, carrément.
La belle remarqua que l'agent Galloway fit signe de terminer l'interrogatoire. Il n'y avait plus aucun micro ni caméras qui les épiaient, heureusement pour Joanna. Ce qu'elle avait envi de dire n'était pas très joli et ça faisait une raison de plus sur sa liste pour le lui lâcher. Comment pouvait-elle seulement penser à se prendre en main? Elle n'y arriverait pas, Joanna n'en avait plus la force. Elle s'était trop battue pour qu'on l'appréci à sa juste valeur, et le résultat n'avait pas été très fructueux. La femme qu'elle était aujourd'hui en témoignait, on pouvait lire la fatigue et une certaine tristesse sur son visage. Mais comme elle détestait qu'on la prenne en pitié. Sa vie actuelle la satisfaisait pleinement et ça ne regardait personne d'autre qu'elle!
« Vous savez, je n'ai pas la force comme vous d'essayer de trouver un sens à ma vie. Bravo, vous avez eu une enfance terrible et vous êtes devenu un homme qui a de la classe, mais tout le monde n'est pas comme vous. À maintes reprises j'ai tenté de devenir quelqu'un de bien, mais chaque fois, chaque putain de fois on trouvait le moyen de me rappeler que j'étais une râtée et que je n'avais pas d'avenir. On a trop abusé de ma confiance. Vous savez quoi? Chaque fois que je recontrais un homme qui avait l'air gentil, je découvrais qu'il n'en voulait qu'à mon cul. Alors j'en ai eu marre, et c'est pour ça que je suis ici. J'ai laissé ma vie suivre mon putain de destin qui est déjà tout tracé, et ça me convient. Je suis comme ça, c'est tout. Oui je suis lâche, oui je fuis la réalité, mais c'est beaucoup plus facile ainsi. Faire un trait sur mon passé, je ne peux pas, parce que c'est ce qui a fait de moi la femme que je suis. Joanna Mills, accusée du meurtre de Georgia Kelly. C'est pas merveilleux? »
À cet instant même, Joanna aurait voulu déguager et aller chez elle pour écouter la télé, ou bien sortir avec Fanny. être ailleurs qu'ici avec lui, même si l'envi de le croquer avec gourmandise traversait toujours son esprit. Il fallait avouer qu'il était vachement sexy quand il s'énervait, et quand il la regardait comme ça. Joanna aurait bien voulu pouvoir lui retirer chaque vêtement qu'il portait sur lui jusqu'aux derniers. à commencer par sa jolie chemise noire un peu froissée. Ce petit air bad boy était vraiment à croquer. Joanna secoua à nouveau la tête puis soupira. Cet interrogatoire devenait vraiment barbant, ils en étaient aux confessions là, apparement. « Que voulez-vous que je vous dise? Personne ne peut jurer sur la bible m'avoir vu ce soir là. Personne. Je n'ai aucun alibi, mais ça ne fait pas de moi une meurtrière. Peut-être que si vous ne condamniez pas les gens sans alibi par un simple regard, votre affaire serait terminée depuis longtemps. Accusez-moi de meutre, mais vous allez perdre votre temps puisque je ne suis pas la fille que vous rechercher. Je n'ai jamais mis les pieds dans cet hôtel. Je passe devant chaque matin en allant travailler, et croyez-moi, juste en voyant les gens qui s'y trouvent je n'ai vraiment pas envi de me prendre une chambre. D'ailleurs, je ne sais même pas pourquoi Georgia était là. Je la connaissais bien à force de lui rendre la vie ipossible, et elle n'était pas du tout du genre à se tenir là-bas. » | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
Nombre de messages : 673 Age : 35 HUMEUR : Insomniaque mais comblé^^ PHRASE FÉTICHE : L'érotisme est un pouvoir sexuel sans bornes, illimité, démesuré. Faut il le craindre ? LOVE : La haine nous ménera-t-elle à l'amour ? { Joanna } Date d'inscription : 30/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sur, c'est pour ça que j'enquête pour savoir qui l'a tuer...Pfff... Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: Tu veux vraiment savoir ? Culpabilité: (40/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Dim 1 Avr - 5:34 | |
| Je ne voulais pas qu’elle est pitié de moi, je n’ai pitié de personne et personne n’a pitié de moi, je mettrais tout en œuvre pour que personne n’est jamais pitié de moi ! C’est un sentiment que personne ne devrait ressentir à l’égard des gens, ce n’est pas un sentiment noble et ça fait ressortir le côté faible des gens La pitié n’est pas un bon moyen, la compassion est quelque chose de normal chez tout être humains mais la pitié ne fait et ne fera jamais partit de moi Si j’avais eu de la pitié, je n’aurais pas pu tuer bon nombre de criminel qui, eux, n’aurait pas hésiter à m’enlever la vie sans une once de conscience. Si Joanna était ici c’est parce qu’elle n’avait aucun alibi le soir du meurtre, ce n’est pas une partie de plaisir de la voir souffrir sous mes yeux, elle perd pied un peu plus au fil des minutes voir mêmes des heures, vu qu’elle est ici depuis pas mal de temps il faut dire. J’avais beau avoir l’envie de l’étriper lorsqu’elle faisait sa mauvaise tête, en ce moment même je me serais abaissé à la prendre dans mes bras et tout faire pour me faire pardonner d’être ainsi avec elle. Cependant, elle doit comprendre que je ne fais que mon travail, c’est ça ma vie, ça ne se résume qu’à une routine qui se casse de temps en temps lorsque les affaires sont un peu moins ennuyante que retrouver un chat disparu ! Malheureusement je e pouvais pas me permettre de lui parler aussi, mais je viens tout de même de couper tout enregistrement pour lui raconter ma vie pourri et c’était un grand pas. Il fallait que je la fasse réagir, c’était pour elle, je ne savais pas pourquoi je faisais tout ça pour une femme que je détestais profondément mais je le faisais et je ne me posais pas de question.
L’écoute attentivement, sentant cette haine indescriptible monter en moi au fur et à mesure de son récit, les moments qu’elle a vécu, je les connais par cœur et moi aussi à maintes reprises j’ai faillis lâcher pour les même raisons qu’elle. Laisse mon regard noir pénétrer le regarde émeraude de Joanna, l’écoutant toujours, ne voulant pas l’interrompre, réfléchissant tout de même tout le long de son récit. Laisse mes pensées divaguer un peu sans pour autant ne pas être attentif à l’histoire de la jeune femme. Fronce un peu les sourcils, mettant mes mains sur mes hanches, gardant mon air sérieux, passe une main sur ma barbe naissante en réfléchissant encore. Lorsqu’elle eu finit, sans le vouloir elle venait de dire quelque chose de très intéressant, elle avait dit : « elle n'était pas du tout du genre à se tenir là-bas. » Ne montre rien, puis pose mes mains sur la table, en me penchant vers elle, les yeux dans les yeux, parle calmement mais avec sérieux et dureté, encore et toujours cette attitude que je mettais forgé au fil des années.
Je me fiche de tes bravo, je me fiche d’avoir de la classe, une belle voiture ou un grand appartement ! Cette force que j’ai en moi, cette persévérance, je ne l’ai pas obtenu par miracle, je ne suis pas née avec et pendant de longues années je me laissais facilement découragé. Mais bon sang regarde toi ! Tu es une femme magnifique, tu as bon nombre de possibilité, tu as un caractère que peu de personnes peuvent se vanter d’avoir et tu pourrais faire tellement si tu le voulais vraiment ! Quand on veut sortir de ce cercle infernal, on fait tout pour le faire, peu importe ceux qui se dressent contre nous, toute ta vie il y aura des personnes qui seront là pour te découragé si tu abandonnes maintenant imagine se que tu seras plus tard. Tu n’es pas une ratée ! Tu n’es pas qu’une jolie fille ! Arrête de sans cesse te rabaisser et ouvre les yeux ! Fais de ta vie ce dont tu as envie, tu peux le faire, si toi tu ne crois pas en toi et bien je le ferais à ta place, je croirai en toi pour deux ! Tu te détruis un peu plus chaque jour, maintenant que je te connais et malgré le fait que tu me sortes par les yeux, je ne te lâcherai pas ! Pas avant d’être sûr que tu vas mieux et si tu n’arrives pas à te prendre en main, c’est aussi moi que le ferai, si tu n’as plus de force, alors je t’en donnerai. Je n’ai jamais eu pitié de personne alors je n’aurais pas pitié de toi, jamais. Et ce n’est pas en utilisant le sarcasme comme moyen de défense que tu arriveras à me faire lâcher prise, tu es chiante ? Je le suis plus que toi. Tu es ironique ? Je le serais plus que toi. Tu te rabaisses ? Je te ferais remonter dans ton estime. A partir de ce jour, c’est comme ça que je vais fonctionner, que ça te plaise ou non.
J’avais dis ça sans ciller, la regardant avec sincérité dans les yeux, ne la quittant pas du regard, tout ce que j’avais dis je le pensais et je le ferai ! Je n’ai qu’une parole, je ne la gâche pas en paroles inutiles, elle savait maintenant ce que je pensais et ce que j’allais faire et croyez moi je le ferai, ça c’est sûr et certain. C’est fou tout de même, j’avais une femme plus que belle et sexy et j’arrivais tout de même à rester calme alors que je n’avais qu’une envie, lui sauter dessus. Dévorer ses lèvres, découvrir encore et encore son corps…Ferme un instant les yeux en me reculant pour ne pas craquer, passe une main sur mon visage en soupirant, essayant de ne pas l’imaginer contre moi, ses baisers, ses caresses, ça en devient difficile de rester à ses côtés sans avoir ce genre de pensées. Fouille dans ma poche, en sors une petit paire de clés, m’approche d’elle sans un mot, glisse une clé dans la serrure des menottes que Joanna porte aux poignés. Les lui enlève et les attache à ma ceinture, remet mon porte flingue sur mon dos, passe les bras dedans et l’attache au dessous de mes pectoraux. Sors un instant de la salle…Revient quelques minutes plus tard avec deux cafés venant du bar juste en face, qui sera meilleur que celui du commissariat, dépose aussi deux sandwichs, puis m’assois en face d’elle en sortant mes clopes. Lui tend le paquet ne sachant pas si elle fume, entend le loquer de la porte se refermer signe qu’un garde était posté devant par ordre de mon supérieur. Reprend la parole après avoir savourer ma gorgée de café chaud.
Tu m’as dis tout à l’heure, que ce n’était pas le genre de Georgia d’aller dans ce genre d’hôtel, pourquoi à ton avis ce n’était pas son genre ? Et d’après toi qu’est ce qu’elle aurait pu y faire ? | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
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Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sûre, je n'ai que ça à faire. Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: En quoi ma vie privée vous regarde? J'étais entrain de m'acheter des dessous sexy, si vous voulez vraiment savoir. Culpabilité: (75/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Dim 1 Avr - 7:16 | |
| Mais qu'est-ce qu'il lui trouvait? Joanna était complètement déstabilisée par sa façon d'agir. Tout ce qu'il venait de lui dire lui foutait la chair de poule, elle ne savait pas quoi en penser. Il ne la connaissait même pas, pourquoi est-ce qu'il perdait son temps à lui dire ça? Et encore, il n'allait sûrement pas le faire. Elle ne comprenait vraiment ce qui le poussait à vouloir l'aider, à faire une vraie femme d'elle, puisqu'elle n'était rien du tout en ce même instant. Joanna se sentait toute petite et fragile, elle aurait aimé qu'on la berce en lui disant que tout allait bien aller. Ce n'est pas cette histoire qui lu faisait peur, pas du tout d'ailleurs mais bien sa vie actuelle et futur. Peut-être qu'il avait raison, de quoi elle aurait l'air plus tard si elle continuait dans cette direction? Aux premières nouvelles, elle se retrouverait sur un coin de trottoir à arrêter les vieux pervers. Là, elle serait descendu au bas de l'échelle et espérait ne jamais y arriver. Pour l'instant, tout semblait aller bien dans sa vie. Mis à part le manque de temps, d'argent, de boulot. Elle travaillait comme serveuse dans un bar miteux mais ça suffisait à peine à payer le petit loyer qu'elle habitait. Et puis, comme devenir quelqu'un de classe quand on habite à La Salle? Okay, Sam semblait avoir de la classe, mais il était flic après tout. Joanna n'était rien, elle n'avait pas fait d'études supérieures qui auraient pu l'aider. De toute façon, Joanna n'en aurait pas eu les moyens, et pourquoi faire ça?
Les yeux de Joanna flottaient dans l'eau, de grosses larmes menaçaient de jaillir sur ses joues rosées. Elle fuyait le regard sombre du policier, elle ne voulait tellement pas avoir l'air faible devant lui. La belle l'était peut-être, mais jamais ell ene l'avait montré. Cette situation ne la touchait absolument pas, c'était plus le fait qu'elle se répète qu'elle était une râtée qui la mettait tout à l'envers. Et puis ce que l'agent Galloway lui avait dit l'avait bouleversé, jamais on ne lui avait parlé ainsi. Si seulement il savait qu'il perdait son temps avec elle. Joanna n'avait plus aucune volonté ni force pour se battre contre le destin qu'elle aurait. Tout ça lui faisait peur, comme quand elle était enfant. À l'époque, personne ne lui avait dit que plus tard elle serait une femme respectée, personne n'avait rien fait pour l'encourager à faire quelqu'un d'elle-même. On lui avait plutôt répété sans cesse qu'elle finirait serveuse dans un bar, qu'elle ne serait qu'une minable femme qui aime se faire sauter. C'est à ce moment là que Joanna en prit conscience, ils avaient eu raison... Elle leur avait donné raison en suivant le chemin tout tracé qu'ils lui avaient prédit. Doucement, elle releva la tête en affrontant le dure regard de Sam.
« Tu ne me connais même pas. Pourquoi tu fais ça? Je ne mérite rien du tout, j'ai bousillé moi-même ma vie jour après jour, sans m'en rendre compte. J'ai fait de moi ce qu'on m'avait enseigné, ce qu'on m'avait répété pendant des années alors que j'aurais dû être dans les bras de ma mère. Jamais on ne m'a dit que je deviendrais quelqu'un de bien, et ils avaient raison. Tout ce que j'arrive à faire, c'est allumer les mecs. »
Une fine goutte d'eau glissa le long du visage de la belle, mais Joanna vint l'essuyer aussitôt puis regarda ailleurs. Le plafond, le plancher, les quatre murs qui la retenaient prisonnière de cette endroit. La jeune femme observa Sam qui s'approchait d'elle avec des clés, il lui retira ses menottes puis les attacha à sa taille. Joanna se frota un peu les poignets, disons qu'elle s'était un peu trop débattu tout à l'heure en tentant de les retirer d'elle-même. Lorsqu'il quitta la salle, elle se demanda s'il n'allait pas la laisser pourrir là. Il mit un peu de temps avant de revenir, elle put l'apercevoir s'approcher avec deux cafés et deux sandwich. C'était presque mignon de sa part. « Georgia était une gosse de riche, elle nous le rappelait sans cesse. Elle n'aurait jamais mis les pieds dans cet endroit pouilleux. Il me semble que son oncle était propriétaire d'un hôtel à deux pas de La Salle, mais je sais plus trop. Alors je crois pas qu'elle aurait été là. » | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
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Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sur, c'est pour ça que j'enquête pour savoir qui l'a tuer...Pfff... Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: Tu veux vraiment savoir ? Culpabilité: (40/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Dim 1 Avr - 9:01 | |
| Vois les larmes lui monter aux yeux, ce n’était pas mon intention de la faire pleurer, j’ai juste dis ce que je pensais et ce que je comptais faire. Elle ne me prend peut être pas au sérieux, sûrement même, mais tout ce que j’ai dit je le ferais je n’ai qu’une parole et je ne compte pas revenir sur ce que j’ai dis. Je pensais chaque mot que j’ai prononcé, mon simple regard devrait suffire à le lui prouver, je suis sincère et franc, ça ne me servirait à rien de mentir et de toute façon ce n’est pas dans ma nature sinon je ne serais pas flic ! Ca me tue de voir à quel point les gens peuvent être égoïste et méchants, ce n’était qu’une gamine orpheline elle ne méritait pas tout ce qu’on lui a dit ou faite, c’est vraiment débile de leur part parce que sûrement sans s’en rendre compte ils lui ont bousillé sa vie. Ils l’ont tellement humilié et rabaissé, qu’ils ont finit par lui faire croire que ce qu’ils disaient était vrai. C’est sans doute pour ça qu’elle a suivit le chemin qu’ils lui avaient tracé sans se soucier de ce qu’elle était vraiment. Les études n’ont rien à voir la dedans, aujourd’hui on a pas besoin de diplôme pour réussir et avancer dans la vie, j’ai la sensation que je peux faire quelque chose pour elle et je n’hésiterais pas à tout mettre en œuvre pour l’aider, quoi qu’il m’en coûte. Elle m’inspire de la compassion et en même temps je la déteste, son comportement m’horripile, la carapace qu’elle s’est forgeait n’est pas adéquate et toute cette histoire m’énerve aussi !
Je ferais ça parce que j’ai envie de t’aider, parce que malgré tout ce que tu peux penser tu en as besoin et puis je n’ai pas besoin de me justifier, je fais ce dont j’ai envie ! Et puis ici c’est moi qui pose les questions hein ! Fais un sourire amusé, pour détendre un peu l’atmosphère, puis reprend mon sérieux en ajoutant avec douceur et calme. Non, tout ce que tu es persuadé de savoir faire c’est allumer les mecs nuance, quand les gens te répètent à longueur de journée que tu es nulle et bonne à rien tu finis par le croire. Mais ce qu’ils t’ont dit est faux, tu vaux mieux que tout ça, je te le prouverai. Tu vas trouver un travail mieux payer, tu vas devenir quelqu’un de bien et tu vas vivre mieux, c’est une promesse. Et je tiens toujours mes promesses.
Sort de la salle après lui avoir enlever les menottes, sort du commissariat et en profite pour crier un bon coup ! Ca fait toujours du bien ! Les gens me regardent bizarrement, puis après quelques secondes ils haussent les épaules et continuent leur chemin comme si de rien était. Tape contre le mur pour me calmer ! Tout ses cons qui lui ont pourrit la vie me sortent par les yeux et si je les tenaient croyez moi ils passeraient un sale quart d’heure ! La vengeance est un plat qui se mange froid, certes, j’ai attendu deux longues années avant de me venger. J’ai fais payer aux personnes qui m’ont fait du mal, rabaisser et humilier en leur montrant que contrairement à eux moi j’avais réussit et parfois les mots font plus de mal que les coups. D’ailleurs, j’ai mis deux d’entre eux en taule, c’est vraiment pathétique ! Hausse alors les épaules en enlevant mon poing du mur, mon poing était rouge, je m’étais un peu entaillé et c’était voyant mais bon pas grave j’ai l’habitude.
Secoue en instant la tête en passant une main dans mes cheveux, les ébouriffant ainsi, prend un sourire gentil pour entrer dans le café juste en face du commissariat. Regarde à droite et à gauche avant de traverser rapidement, pousse les portes du fameux café, il n’y a pas grand monde à cette heure ci, c’est vrai qu’à 21h les gens ont autres choses à faire que d’aller boire un café. Vais vers la caisse et commande deux cafés ainsi que deux sandwichs, ne paie rien et oui c’est le contribuable qui banque^^ ! Retraverse la rue, traverse aussi le commissariat et rentre dans la salle d’interrogatoire où je pose tout dessus. Laisse le garde devant la porte et vérifie que l’entretien soit bien réenregistré. La vitre s’est fumé, la lumière rouge sur la caméra clignote, on est à nouveau sur écoute. Soupire tout de même, me rassoit face à elle et boit un peu de mon café, fronce les sourcils à sa réponse, c’est vrai que ça paraît bizarre. Enchaîne alors…
Et vous n’avez donc aucune idée de ce qu’elle pouvait bien faire là bas alors ? Parce que si on suit votre raisonnement, si elle avait voulu être tranquille elle aurait prit une chambre à l’hôtel de son oncle qui est de loin mieux entretenu que celui-ci. | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
Nombre de messages : 732 HUMEUR : Massacrante. Genre que je suis innocente, ça se voit. PHRASE FÉTICHE : « Il faut que je sois cruelle rien que pour être humaine. » LOVE : Le fait que tu me détestes me rend totalement dingue de toi. { Sam } Date d'inscription : 26/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sûre, je n'ai que ça à faire. Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: En quoi ma vie privée vous regarde? J'étais entrain de m'acheter des dessous sexy, si vous voulez vraiment savoir. Culpabilité: (75/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Dim 1 Avr - 9:32 | |
| Pour une fois, Joanna rencontrait quelqu'un qui avait l'air sincère. Sam ne semblait pas comme tous ces hommes qui lui avaient promis une vie rose et qui ne lui avaient jamais offert le bonheur. En réalité, Joanna se fichait bien de ces hommes en ce moment. Elle n'avait plus revu sa dernière famille d'accueil depuis ses 12 ans, la belle avait préféré vivre seule. Enfin, on l'avait retrouvé et elle avait terminé son adolescence dans une maison pour jeunes délinquants, mais là au moins on la traitait bien, elle avait un toit et elle mangeait bien. Joanna s'était souvent imaginée les revoir, toutes les familles qui l'avaient accueilli chez un par pure charité et qui ne s'étaient pas occupé d'elle comme elle le méritait, et elle savait qu'elle n'aurait pas été capable de les revoir. Tout simplement parce que les souvenirs auraient refait surface, ces souvenirs qui lui font si mal quand elle ose y replonger. Joanna avait tenté de faire un trait sur son passé, et ces temps-ci elle arrivait assez bien. Depuis qu'elle avait emménagé à La Salle, malgré ses conflits avec Georgia, elle allait très bien. Elle menait une vie à peu près normale jusqu'à son arrestation. Mais à partir de maintenant, tout allait changer, et elle le savait. L'agent Galloway ne le lâcherait pas d'une semelle, il semblait déterminé à l'aider. Mais l'aider à quoi au juste? Joanna avait vraiment du mal à y croire, jamais on avait tenu ses promesses avec elle et elle avait perdu toute confiance en son entourage. La seule personne à qui Joanna pouvait tout dire, se confier, c'était Fanny. Elle avait l'air d'une garce au premier regard mais elle était tellement gentille, réconfortante. Et puis elle pouvait comprendre l'enfer qu'avait vécut Joanna.
La belle lui rendit son sourire. Un sourire faible, mais on avait quand même pu apercevoir un air amusé sur son visage. C'était gentil de sa part de s'occuper d'elle qui il le faisait, elle se devait bien d'être un peu moins peste qu'au départ. Si Joanna avait été policière et avait eu affaire à une suspecte de son genre, elle n'aurait pas résisté à lui sauter dessus pour lui foutre un bon nombre de gifle. La belle était d'une arrogance incroyable, il était rare de croiser une jeune femme avec un tel caractère.
" Si vous le dites. Je vous souhaite bonne chance, je suis vraiment insupportable vous savez. vous avez probablement affaire à pire qu'au diable. Impossible d'être aussi chiant que moi, là-dessus vous pouvez me croire. Mon arrogance fait parti de mon charme, il paraît. Vous n'avez pas changé d'avis, j'espère? "
Joanna passa doucement une main dans sa chevelure bouclée. Elle avait repri un teint normal et ses yeux n'étaient plus bouffis par les larmes, son moral n'était plus aussi bas que quelques minutes auparavant. Elle tenta de se rappeler Georgia, son caractère et les habitudes qu'elle avait pri chaque jour. Ça fait longtemps qu'elle ne lui avait pas parlé. Depuis au moins un mois avant sa mort. D'ailleurs, elle se souvenait que durant ce mois, Georgia avait eu des agissements étranges et elle était souvent absente. Habituellement, Joanna la croisait chaque jour au marché et les deux jeunes femmes s'engueulaient chaque fois pour savoir qui allaient prendre la dernière tomate. Il suffisait d'un accrochage idiot pour que ces deux là s'engueulent, elles se détestaient comme la peste. Un sourire se dessina sur le visage de Joanna, ces souvenirs la faisaient rire. Oui, elle avait été horriblement jalouse de Georgia. Elle l'avait si souvent envié. Si elle avait voulu, la belle aurait pu devenir sa meilleure amie, parce que côté caractère, elles se ressemblaient et c'était pour cette raison qu'elles étaient toujours en conflit.
" Écoutez, je ne suis vraiment pas la bonne personne pour répondre à ce genre de question. Je parlais souvent à Georgia mais c'était pour m'engueuler avec elle, alors je ne savais pas vraiment ce qu'elle faisait de sa vie. Elle aurait bien pu être une prostituée et je ne l'aurais pas su. Tessa Holland était sa meilleure amie, elle saura sans doute vous en dire plus que moi, sa pire ennemie. Je ne sais pas ce qu'elle faisait là, mais je sais qu'elle n'y aurait pas mis les pieds, on l'a sans doute fait contre son gré. Enfin, je dis ça comme ça, je peux me tromper. Et puis avant je la croisais chaque jour, mais un mois avant sa mort, sa présence était plus rare. Elle était présente à chaque soirée en boîte à son habitude, mais là, elle avait été souvent absente. Mais je ne peux pas vous dire pourquoi, désolée. J'ai entendu dire qu'elle avait eu des ennuies avec quelqu'un, mais c'est vague. J'étais bourrée. Oh, ça me revient, je l'ai vu avec Luke un soir, ils s'engueulaient. Je suis vache, il va m'en vouloir là. "
Joanna haussa les épaules, affichant un sourire malin. Elle était peut-être bourrée, mais au moins elle se rappelait ce petit détail. La belle prit le gobelet de café chaud puis le porta à ses jolies lèvres rosées avant de le reposer sur la table. Elle savait très bien que Georgia trompait Luke avec un homme qui habitait à New York, dans l'Upper. Joanna ne savait si Sam le savait, mais ce n'était certainement pas elle qui lui dirait. En plus, cet homme avait l'air vachement louche, il était venu dîner une fois au restaurant où la belle travaillait comme serveuse. | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
Nombre de messages : 673 Age : 35 HUMEUR : Insomniaque mais comblé^^ PHRASE FÉTICHE : L'érotisme est un pouvoir sexuel sans bornes, illimité, démesuré. Faut il le craindre ? LOVE : La haine nous ménera-t-elle à l'amour ? { Joanna } Date d'inscription : 30/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sur, c'est pour ça que j'enquête pour savoir qui l'a tuer...Pfff... Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: Tu veux vraiment savoir ? Culpabilité: (40/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Dim 1 Avr - 14:31 | |
| Affiche un petit sourire en secouant négativement la tête en guise de réponse, en plus la jeune demoiselle ne sait pas à qui elle a à faire, je suis persuadé d’être encore plus chieur qu’elle j’en suis même carrément sûr ! Je suis également désinvolte et arrogant, mais ça elle ne le sait pas encore, elle risque de le découvrir au fur et à mesure. Je suis aussi insupportable, je fais pas mal de chose sur des coups de têtes, je ne réfléchis pas aux conséquences et le pire de tout c’est que je vais être tout le temps sur son dos. C’est le prix à payer pour avoir une vie meilleure, un boulot moins dégradant que serveuse dans un bar douteux, un appartement un peu plus grand et peut être même une vie sociale plus épanouissante. C’est en tout cas mon objectif et je m’y tiendrais coûte que coûte ! Je tiens toujours mes promesses, je trouve les gens pathétique et pitoyable quand ils disent des choses et ne fond rien, les grandes gueules ne m’intéressent pas, par contre sans vraiment savoir pourquoi et même en mettant son physique de côté je ne saurais pas pourquoi Joanna en particulier m’intéresse mais c’est comme ça. Alors je l’aiderai, quitte à abandonner un peu mon boulot, on est pleins de flics sur cette affaire ce n’est pas parce que je négligerai un peu que tout vas mal fonctionner. Sors de la salle d’interrogatoire après lui avoir enlever les menottes, la regarde un instant dans les yeux puis sors de la salle direction le café d’en face…
Reviens 10 minutes plus tard avec le tout en mains, dépose sur la table, puis me remet face à elle, je suis obliger de la vouvoyer lors de cet entretiens filmer, il me semble qu’elle recommence à être raisonnable et elle réponds franchement et sincèrement à mes questions ce qui est un bon point pour elle. L’écoute posément et tranquillement, assis sur ma chaise certes pas très confortable mais au moins on pouvait s’asseoir c’était déjà ça ! Bois une gorgée de mon café en le savourant parce que je sais combien celui que je boirai après sera dégueulasse ! La regarde toujours dans les yeux, tout à coup, c’est comme si tout tournait au ralentit, je n’entendais plus vraiment ce qu’elle disait, je ne faisais que la regarder. Ses yeux, sa bouche, ses cheveux, son visage, c’est comme si je faisais abstraction de tout durant une fraction de seconde qui me parut être une éternité. Me reprends lorsqu’elle eu finit, me racle la gorge pour reprendre contenance et dis tout en fronçant un peu les sourcils…
Luke…Luke…Ca me dit quelque chose…Ah ! Mais oui, Luke ! L’es petit ami de Georgia, son nom de famille c’est Baltimore il me semble. Je n’ai pas encore eu le plaisir de l’interroger mais un de mes confrère a déjà du le faire j’irai lire son rapport en sortant d’ici. Il paraît qu’elle l’a trompait avec je ne sais qui, on a pas réussit à trouver l’homme en question et ça nous pose d’ailleurs problème. Parce que le suspect numéro un c’est bien lui, tout le monde en parle, tout le monde l’a déjà vu au moins une fois avec Georgia, mais personne ne peut exactement le décrire et personne ne le connaît personnellement. L’amant de Georgia se fait rare, tel un fantôme, c’est pour ça qu’on cherche un priorité des informations sur cet homme mystère ! Savoir en plus que pendant un mois, juste avant sa mort, elle devenait de moins en moins présente à La Salle nous indique clairement qu’il faut qu’on trouve cet homme au plus vite. L’auriez vous vu quelque part en la compagnie de Georgia ? Et si oui pourriez vous nous le décrire avec un minimum de précision ?
Sort un petit calepin où pas mal de feuille blanches y sont accrochées, puis sors ensuite un crayon de ma poche de chemise, écrivant quelques informations que j’ai relevé dans ce qu’elle a dit, c’est une sorte de pense bête pour moi…Et faire ça me permet de quitter les yeux si troublant de la demoiselle, c’est comme une pause pour me remettre les idées et l’esprit en place, je n’ai pas compris ce qu’il s’est passé tout à l’heure mais ça a eu le don d’amplifier mon désir pour elle ! Ce n’est peut être pas bon, non ce n’est pas bon du tout, je serais amené à la revoir pour le boulot et si je mélange vie privée et boulot je ne vais pas m’en sortir ! Mais bordel ce qu’elle peut être sexy et désirable, comment est ce qu’elle fait pour m’attirer autant en un seul regard ? Un jeu de regard qui s’est installé entre nous à cause des micros et qui se développe peu à peu et malgré la présence des caméras… | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
Nombre de messages : 732 HUMEUR : Massacrante. Genre que je suis innocente, ça se voit. PHRASE FÉTICHE : « Il faut que je sois cruelle rien que pour être humaine. » LOVE : Le fait que tu me détestes me rend totalement dingue de toi. { Sam } Date d'inscription : 26/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sûre, je n'ai que ça à faire. Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: En quoi ma vie privée vous regarde? J'étais entrain de m'acheter des dessous sexy, si vous voulez vraiment savoir. Culpabilité: (75/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Dim 1 Avr - 15:03 | |
| Joanna la façon dont la bel homme assit juste en face l'observait. Il la dévorait avec gourmandise, la déshabillait des yeux. Apparemment, son envie pour elle était toujours présente, du moins, dans son regard. Le pauvre, il semblait totalement déstabilisé par la belle se tenant en face de lui, et il n'avait pas été le premier à l'être. Joanna trouvait rigolo d'attirer un policier qui semblait la détester, même la haïr. Si elle n'aurait pas été aussi belle, si son corps n'avait pas été parfait, est-ce que son caractère aurait suffit à l'attirer? Joanna détestait penser à ça, le fait qu'elle puisse attirer un homme seulement physiquement la dégoutait. Elle n'était pas du tout du genre romantique mais elle trouvait important qu'on appréci quelqu'un à sa juste valeur et non pour des artifices tels que la beauté. Joanna cessa d'y penser en secouant la tête, faisant virevolter quelques mèches de cheveux sur son visage. Le fait qu'elle reverait sûrement cet officier de police la faisait sourire, elle ne savait même pas pourquoi. Il y avait quelques choses dans leur deux regards, ils étaient hypnotisés par l'autre, sans cesse. Joanna devait l'avouer, si elle avait pu, il y avait longtemps qu'elle serait assise sur ses genoux entrain de l'embrasser. Sa bouche, elle était si attirante. De jolies lèvres roses et fines, elles avaient l'air gourmandes comme Joanna les adoraient. Et puis il y avait aussi son sublime corps qui lui faisait envi, lui retirer sa chemise et surtout sa ceinture, c'est tout ce qu'elle désirait ... Joanna avait totalement perdu le contrôle de ses pensées, les images défilaient dans ses tête et elle ne pouvait les stopper. Un peu plus et la bave lui coulerait au coin des lèvres, quelle honte. Joanna tenta de se contenir, un sourire coquin se dessina sur son doux visage. Elle posa ses coudes sur la table, posant son visage dans sa main, puis lui chuchota quelques mots tout bas, pour éviter que les micros captent ce qu'ell evenait de dire.
« Si je vous déconcentre trop, dites-le moi, on pourra aller arranger ça ailleurs ... »
Joanna se mit à rire silencieusement. Son visage parlait pour elle, comme toujours. Dans ses yeux brillaient toujours cette lueur, cette flamme indescriptible et déstabilisante. Elle savait très bien qu'ils finiraient par coucher ensemble, et si ça ne devait pas arriver, Joanna forcerait le destin. Elle lui en voulait de lui avoir parler si sauvagement quelques minutes plus tôt, et c'est pour cette raison qu'elle était attirée vers lui. Joanna avait horreur des policiers, elle les avait toujours détesté. Peu importe qui c'était, elle leur faisait toujours vivre un enfer. Heureusement, elle avait été douce avec Sam, car normalement, elle aurait vraiment été plus chiante qu'elle ne l'avait été. Joanna sourit en lo voyant chercher qui était Luke, et il finit par se souvenir. Luke Baltimore, bingo. Ça aurait été trop évident s'il avait tué sa petite amie, Luke lui semblait plus futé que ça. Et puis l'amant de Georgia, puis elle y pensait, plus il était impossible que ce soit lui. Joanna lui avait parlé, deux ou trois fois, des discutions de rien du tout. Un bonjour et sans plus. Chaque fois Georgia avait fait une crise parce que sa pire ennemie avait osé s'approcher de lui. Non, cet homme semblait trop clean pour avoir tué Georgia. Et puis elle devait l'avouer, il avait franchement l'air amoureux d'elle.
« Je dis ça comme ça, mais selon moi, vous perdez votre temps avec son amant. Écoutez, je les ai vu plusieurs fois ensembles, et il avait vraiment l'air amoureux. Le pauvre, Georgia elle avait plutôt l'air de se foutre royalement de sa gueule et il ne le voyait même pas. Et puis je ne sais même pas pourquoi je vous dis ça, je peux raconter n'importe quoi. Ce n'est qu'un avis personnel. Je peux partir? »
Joanna commençait à être fatiguée, mais elle savait bien qu'il ne la laisserait pas sortir tout de suite, malheureusement. | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
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| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Lun 2 Avr - 12:17 | |
| Arque un sourcil amusé lorsque je vis une petite flamme s’allumer dans les yeux de Joanna, la même qui brillait dans mes yeux depuis mon retour du café. Porte le gobelet blanc de café à mes lèvres sans la lâcher du regard, adorant ce petit jeu qui s’était installé entre nous, c’est vrai que je la détestais, son attitude me sortait par les yeux, sa désinvolture et son arrogance me tuais mais en même temps par certains côtés elle me rappelait un peu moi quand j’étais plus jeune, avant de vraiment faire partit intégrante de la police du moins. Mais la vie a fait qu’aujourd’hui je suis plus dur et plus sérieux, ce n’est pas plus mal et j’ai des moments où j’aime décompresser, rire et sortir. Même si à La Salle c’est difficile de trouver des gens de mon âge assez sympa et pas trop bête, pour sortir avec moi après le boulot pour boire un coup au bar du coin. Les yeux pétillant et le sourire en coins de la jeune femme me fit revenir à la réalité, reposant lentement mon gobelet sur la table devant nous, je me perdais sans le vouloir dans les yeux de Joanna qui m’hypnotisaient totalement. Mes pensées se perdant elles aussi, m’imaginant en train de l’embrasser, de la caresser…Ce n’était pas bon d’avoir de telles idées, mais que voulez vous je suis un homme et qui plus est qui est en manque ! Mais je dois avouer que même si son physique de rêve est plus qu’attirant, il y a autre chose qui m’attire. Ce sentiment contraste me trouble quelque peu mais je fais avec et je me pose quelques questions qui pourront sans doute m’aider à trouver pourquoi j’ai autant envie d’elle ici et maintenant !
Hausse les sourcils en faisant de gros yeux lorsqu’elle me dit tout bas : « Si je vous déconcentre trop, dites-le moi, on pourra aller arranger ça ailleurs ... » ! Elle était vraiment pas croyable, j’espérais de tout cœur que les micros n’étaient pas assez sensible pour avoir entendu ça, allonge mes jambes sous la table, les posant sur les pieds de la chaise à Joanna, me reposant contre le dossier de ma chaise, les bras croisés contre mon torse. Plus je m’éloignerai d’elle et mieux se sera, le moins de contact physique seraient préférable vu la tension qui régnait entre nous dans cette salle d’interrogatoire ! Fais mine de ne pas avoir entendu sa première réflexion pour me concentrer sur son récit. Alors comme ça ce fameux inconnu serait fou amoureux de Georgia, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle mais je me garde bien de le dire à Joanna pour le moment il vaut mieux garder certaines choses pour moi avant de faire une gaffe ! Réplique alors sans la lâcher du regard pour être sûre qu’elle m’écoute un temps soit peu !
Justement, un crime passionnel serait tout à fait envisageable et cette piste ne sera pas mise de côté, au contraire c’est celle que l’on exploite le plus. Seulement cet homme est un vrai fantôme et il est difficile de retrouver quelqu’un, lorsqu’on ne connaît rien de cette fameuse personne ! Ni son prénom, ni son visage, ni même l’endroit où il habite ! Mais si vous dites que vous les avez vu plusieurs fois ensemble, vous pourriez me le décrire à peu près ? Ca me serait d’une grande aide pour mon enquête.
Espère qu’elle va continuer de coopérer, quand elle me demande si elle peut partir me gratte l’arrière du crâne en grimaçant, me retourne vers la glace pour avoir ne serait ce qu’un signe de la part de mes supérieurs…Mais rien ! Comme si ils ne pouvaient pas bouger leurs gros culs de leurs putains de chaises ! Patron de me*de ! Crispe ma mâchoire, si ils me regardent ils ont du s’apercevoir que cette situation commencé à m’énerver sérieusement. Regarde à nouveau Joanna, finissant d’un trait mon café, toute cette affaire commençait à vraiment me prendre la tête ! Poser toujours les mêmes questions, aller voir les mêmes personnes, avoir les mêmes réponses, vérifier les alibis des uns et des autres, ça en devenait lassant et épuisant ! Mais c’était mon boulot et bien sûr, j’avais été mis directement sur l’affaire. Soupire un instant, reprenant mon crayon en main, le calepin de feuille blanche devant moi, explique alors à Joanna…
Il commence à se faire tard, alors après avoir finis de poser mes questions et quand vous m’aurez décrit ce fameux amant, je demanderais à une voiture de police de vous escorter chez vous. Ainsi vous serez en sécurité et je serais sûr que vous serait rentré saine et sauve dans votre appartement mademoiselle Mills. Bien, vous pouvez commencer la description, je vous écoute. | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
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Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sûre, je n'ai que ça à faire. Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: En quoi ma vie privée vous regarde? J'étais entrain de m'acheter des dessous sexy, si vous voulez vraiment savoir. Culpabilité: (75/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Lun 2 Avr - 18:30 | |
| La jolie brune jonglait avec son gobelet de café tout en écoutant avec peu d'attention ce que disait l'agent Galloway. Chaque seconde, elle faisait passer la tasse d'une main à l'autre, la portant quelques fois à ses lèvres. Son regard était braqué sur l'inspecteur qui l'interrogeait, sur ses yeux noirs, ses bras musclés, son visage fatigué par le travail. Joanna n'avait pas été attiré ainsi par un homme depuis bien des années, jamais on le l'avait hypnotisé comme il faisait avec elle! Et puis il y avait leurs regards qui se croisaient si souvent, semblant chercher quelque chose chez l'autre. Quelque chose de mystérieux et d'indescriptible. Mais qu'est-ce qui l'attirait chez lui? Ce n'était pas que physique, un certain lien et une magie invisible les unissaient étrangement, et Joanna ne pouvait pas comprendre pourquoi. Elle le haïssait et le détestait en même, deux sentiments complètement opposés. Qu'est-ce que le désir venait faire dans toute cette histoire? Il avait beau être un policier, il était très sexy, désirable, et surtout, il semblait si loin! Impossible de l'approcher, de le déstabiliser, pourtant, Joanna avait tenté plus d'une fois de le faire craquer. Peut-être que s'il n'avait pas été sous l'oeil de ses supérieurs il aurait été plus détendu? Allez savoir ... Mais le fait qu'il semble indifférent au charme de la belle faisait qu'elle le désirait encore plus. Sentir son corps contre le sien, ses mains balladeuses parcourir ses courbes, ses caresses et ses baisers sauvages! Joanna avait horriblement envi de saisir sa chemise et de le plaquer contre elle, de l'embrasser et de le dévorer tout cru. C'est tout ce qu'elle demandait, la belle ne voulait pas qu'on lui décroche la lune! Et encore, ça aurait pu être purement sexuel entre lui et elle, mais autre chose que ce qu'il dissimulait dans son pantalon l'attirait. Joanna souhaitait en savoir plus sur lui, elle aurait tant voulu pouvoir décrire cette lueur dans ses yeux, ce n'était ni de la nostalgie ni du regret, c'était quelque chose que la jolie brune n'avait jamais vu dans les yeux d'un homme.
Joanna l'écoutait et son hypothèse était complètement débile à ses yeux. Un crime passionnel, impossible. Et puis, d'abord, de quoi était morte Georgia? Une fracture du crâne peut-être, cette conne aurait bien pu se prendre les pieds dans les escaliers tellement elle n'était pas douée et pas très futée. Non, c'était tout autre chose.
« J'ai une mémoire de poisson. Arf, attendez ... 1m80, visiblement plein de fric, brun, ou peut-être blond. Non brun, voilà il était brun. Ou blond? Ah oui c'est vrai il était blond, il avait la fâcheuse habitude de mal coiffer ses cheveux, en tout cas, les rares fois où je l'ai vu, c'était franchement râté. Et puis il est assez bronzé. Peut-être un espagnol? Pas un américain pur, il avait d'autres origines, juste à voir la couleur de son teint. Je crois qu'il avait les yeux verts. Et puis il avait des lunettes, vous savez ces lunettes très fashion et franchement hideuses que les banquiers très sérieux portent? Ce genre de lunette. Toujours très bien habillé, des marques, toujours .... Et puis voilà. »
Effectivement, Joanna avait la mémoire d'un poisson rouge. Et alors, c'est mignon les poissons rouges, non? D'ailleurs, elle hésitait toujours sur la couleur de ses cheveux, il était brun ou blond ce con qui se tappait georgia? À ce moment, Joanna imagina le nombre d'infections que Georgia devait lui avoir filer! Bah voilà, il l'avait peut-être tué pour cette raison, elle lui avait filé le SIDA. La belle brune délirait toute seule dans sa tête, d'ailleurs, elle se mit à rire comme une débile avant de tenter de reprendre son sérieux. De quoi elle aurait l'air là? Enfin, il allait seulement la trouver drôle, c'est tout. Elle l'espérait, du moins. À nouveau, comme c'était un tic chez elle, Joanna passa une main dans ses cheveux, ramenant quelques mèches vers l'arrière. Elle fit basculer sa tête vers l'arrière puis soupira, elle commençait à avoir mal au derrière sur cette chaise pas très confortable pour ses jolies fesses. Joanna reprit une position normale puis passa une main sur son visage. « Au fait, elle est morte de quoi cette conna...Georgia? Non laissez tomber, je veux pas savoir. Je serai en sécurité vous dites? Écoutez, je dormirai bien mieux si vous venez personnellement me conduire chez moi. Je n'ai jamais mordu personne. Enfin, si, mais c'était plutôt rigolo. Et puis, vous me devez bien ça, j'ai sagement répondu à vos questions ... » | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
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| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Mar 3 Avr - 14:14 | |
| Fixe un instant ses lèvres, elles m’attirent irrésistiblement ! C’est fou ce qu’elle peut dégager comme sex appeal, comme aisance et comme beauté, un regard d’elle et je damnerai un saint, un sourire et je pourrais me prosterner à ses pieds, un baiser et je pourrais mourir heureux. C’est peut être extrême ce que je pense mais c’est extrême ce que je ressens, de trop lourds contrastes se fondent en moi, comment passe-t-on de la haine à l’amour ? Comme on passe de l’énervement à la plénitude, trop facilement. En un regard j’arrivais à entrevoir ses pensées et elle les miennes, on arrivait à s’accrocher, je n’arrivais plus à détourner les yeux, j’étais comme attirer tel un aimant vers elle. C’est tout à fait absurde étant donné que je ne la connais pas vraiment, mais il faut dire que son physique très avantageux y est pour pas mal, des courbes parfaites, un jolie visage, un sourire ravageur et des yeux vert émeraude que peu de personne ont. Et pourtant, derrière tout ça, derrière le peu de maquillage qu’elle avait, derrière son attitude, je décèle quelqu’un de bien quoiqu’elle en dise ce n’est pas une raté loin de là même ! Mais il m’est difficile de porter un jugement sur la jolie demoiselle étant donné que je la connais que depuis quelques heures, je l’avais déjà croisé une ou deux fois dans la rue, je m’étais retourné, mais comment ne pas se retourner après une tel jeune femme ?! Mes pensées étaient faussées, je n’avais qu’une envie, envoyer valser la table qui nous séparait, me lever de cette chaise faite d’acier et me précipiter vers elle pour m’emparer de ses lèvres avec avidité ! Caresse sa peau douce, la faisant glisser sous mes doigts experts, découvrir son corps encore et encore, lui faire l’amour comme jamais…Seulement lorsque l’on fait ce genre de chose il faut s’attendre à ce que le mec rappelle le lendemain ce qui est normal sois dite en passant, mais je ne pense pas être prêt pour une relation sérieuse. Le pire dans tout ça c’est que je la détestais vraiment, je vouais une haine sans borne pour la jeune femme qui se trouve devant moi, ses paroles si désinvolte, son arrogance, son air supérieure...Je devrais peut être la faire taire une bonne fois pour toute…Un baiser langoureux et fougueux ferait peut être l’affaire non ?...Houlà faut que je me reprenne moi ! Secoue légèrement la tête après avoir finis mon café, passe une main sur mon visage pour effacer toutes traces de fatigue, relevant à nouveau mes yeux vers elle, crayon en main…
Me prépare, l’écoute en fronçant les sourcils, note les informations une à une, c’était assez flous je dois dire, des hommes grands, blonds ou bruns avec des yeux clairs il y en avait sans doute partout ! Commence alors à faire un portrait robot, j’adore dessiner pendant mes heures de libres, les portraits robots ça me connais, dessine un visage typé espagnol sans trop l’être, lui fait des cheveux en bataille en faisant de légers reflets. Finis par lui faire des lunettes, accentue les traits du visage pour que se soit plus réaliste, à la fin de sa description tourne le calepin vers elle mettant mon crayon dans la bouche…
C’est difficile de réaliser un portrait à partir de ce que vous m’avez dit mais c’est déjà ça, ça m’aide beaucoup, merci. Par contre, regardez attentivement ce que je viens de dessiner, quand vous l’aurez mémorisé il va falloir me donner le maximum de détails, tout ce dont vous vous rappelez. Du vulgaire grain de beauté à la grosse balafre, un tatouage, un piercing, n’importe quoi. Si il avait une manie, enfin tout ce qui pourrait nous aidez et éventuellement si le portrait n’est pas ressemblant vous me décrirez ce que vous vous rappelez et je ferais en sorte de le dessiner pour que se soit le plus fidèle possible.
C’est vrai que l’histoire du blond et du brun m’embrouillait un peu, mais elle avait déjà retenue pas mal de chose, elle ne pouvait quand même pas savoir que Georgia se ferait tué et qu’on l’interrogerait en lui demandant de décrire l’amant de celle-ci. Elle a coopéré et c’est déjà très bien, bouge un instant mes pieds et effleure le sien sans vraiment le faire exprès, n’ose pas lever les yeux vers elle faisant semblant de griffonner quelque chose sur la feuille tout en replaçant mon pied contre sa chaise. Relève tout de même la tête en fronçant les sourcils lorsqu’elle me demanda de quoi était morte Georgia, je n’avais pas le droit de le divulguer…Et je ne le savais pas, donc ça m’arrangea quand finalement elle laissa tomber. Hausse alors les épaules quand elle voulu que je la raccompagne chez elle en personne, si elle pouvait être plus rassuré à mes côtés pourquoi pas, j’ai finis mon service dans pas longtemps de toute façon. Et c’est vrai, je le lui devais bien, elle avait répondu à mes questions, on avait bien parlé et je lui avais fais la promesse de ne pas la lâcher donc !
Bien, je vous raccompagnerai moi-même à votre domicile, en attendant de vérifier votre alibi, on ne sait jamais peut être que quelqu’un vous aura vu dans les parages et en supposant que vous n’êtes pas la meurtrière bien sûr, voulez vous un policier en faction devant chez vous au cas où ? | |
| | | Joanna Mills FONDATRICE & SUSPECTE Ai-je tué Georgia? Peut-être.
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Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sûre, je n'ai que ça à faire. Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: En quoi ma vie privée vous regarde? J'étais entrain de m'acheter des dessous sexy, si vous voulez vraiment savoir. Culpabilité: (75/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Mar 3 Avr - 19:36 | |
| Le regard toujours braqué sur l'officier de police, Joanna ne l'écoutait plus du tout. Un vide s'était créé autour d'elle, elle était bien dans sa bulle. Elle ne faisait que regarder ses fines lèvres bouger délicatement lorsqu'il prononçait les mots qui finissaient par former des phrases que Joanna ne pouvait saisir, son esprit étant concentré sur autre chose que de simples mots. Non, la belle était plutôt préoccupée par elle-même, en fait. Elle avait repensé à ce qu'il lui avait dit, quelques minutes plus tôt. En fait, ça devait faire bientôt une heure de cela. Et si elle n'était pas une ... râtée? Peut-être y avait-il quelque part une petite lueur d'espoir qui brillait pour elle, pour l'encourager à devenir quelqu'un. Mais Joanna n'avait aucun but dans la vie, elle souhaitait seulement être heure. La belle n'avait pas envi d'un job qui prendrait tout son temps, ni d'un appartement si grand qu'elle s'y sentirait encore plus seul. Joanna ne voulait pas perdre ces habitudes, comme aller veiller tard le soir dans les bars, déconner avec Fanny, passer la plus grande partie de son temps à draguer. C'était son sport, draguer. En fait, la jolie brune ne savait même pas ce qu'elle voulait, tout se chamboulait dans sa tête, et Sam Galloway ne faisait qu'empirer les autres! Lorsqu'il se mit à mordiller le bout de son crayon, Joanna aurait voulu passer par dessus la table pou rle rejoindre, passer ses mains à son cou, l'attirer contre son corps chaud et l'embrasser jusqu'à ce qu'elle ne soit plus capable de respirer. Cet envi se mélangeait à celui de lui foutre son poing sur la gueule et de lui crier des bêtises qu'elle pensait plus que tout autre chose. Assez étrange comme sentiment, comment pouvait-elle ressentir ces deux choses si opposées l'une de l'autre? C'était probablement le fait qu'elle le détestait qui le rendait si sexy et si irrésistible à ses yeux. Enfin sortit de la lune, Joanna posa ses deux coudes sur la table puis déposa son menton dans ses mains, arborant un air interrogatif. Il venait de lui dire quoi, là? Joanna n'avait pas du tout écouté, du moins, elle savait qu'il avait dessiné un portrait robot avec les références que lui avait fourni la belle puisqu'il glissa sa tablette de papier en sa direction. Les yeux de Joanna devinrent rond, sortant presque de son crâne. Il dessinait vachement bien, décidement, cet homme avait plus d'un talent caché en lui. Joanna examina le croquis, c'était assez ressemblant pour un policier qui n'avait jamais vu celui qu'il venait de dessiner. La jolie brune étira son bras pour aller lui voler son crayon. Il avait au moins dix bonnes années, voire quinze, qu'elle n'avait pas dessiné. Enfant, elle ne faisait que ça et elle était vraiment douée, mais avec le temps, elle avait perdu une partie de son talent puisqu'elle avait complètement arrêté le dessin à l'adolescence. Elle trouvait cette activité trop ennuyante, elle préférait aller se droguer avec ses copains à cette époque là de sa vie. Joanna rajouta quelques détails au dessin, d'une main maladroite, comme elle n'était plus habituée, mais elle n'avait pas perdu ce talent pour lequel elle avait travaillé si dure étant enfant. Sur son front, elle dessina une légère cicatrice juste au dessus du sourcil gauche puis lui fit une gueule un peu plus carrée. Joanna déposa le crayon sur la tablette puis la fit à nouveau glisser vers le policier, accompagnée d'un sourire charmant sur son visage.
« Et puis il avait un diamant d'incrusté dans une de ses dents de devant. Il semblait aimer qu'on le regarde et qu'on l'admire, et avec ce truc horrible sur sa dent, c'était réussi, il attirait bien l'attention des gens. »
Lorsqu'il accepta de la raccompagner chez elle, Joanna esquissa un sourire malin. Elle avait réussi à le convaincre sans qu'il ne rouspète, elle ne s'attendait pas à ça. S'il croyait qu'elle allait le laisse seulement la raccompagner à sa porte, il se trompait. S'il le fallait, Joanna le forcerait à entrer, elle le prendrait par le collet et le tirerait à l'intérieur de l'appartement. Un désir brûlait en elle et Joanna ferait tout pour le satisfaire, qu'elle y arrive ou non. Si ses efforts s'avéraient être des échecs, elle aurait au moins essayé. Et puis, elle aurait à le revoir dans les jours à suivre, la jolie brune avait donc tout son temps pour satisfaire ses besoins de femmes fatales. « Non, ça ira. De toute façon, si on tente de m'assisiner sauvagement, je n'aurai qu'à vous appeler et vous viendrez me sauver, n'est-ce pas? Allons-y maintenant, s'il-vous-plaît, j'ai hâte de retirer ces vêtements. » Joanna avait prononcé cette dernière phrase sans arrière-pensée, elle aviat vraiment hâte de retirer cette jupe et ce haut pour enfiler des vêtements plus confortables, et elle se demandait si c'était ce que le policier ainsi que ses supérieurs avaient compri. Tant pis, elle aimait bien les sous-entendus en temps normal. La belle se leva, tira un peu sur sa jupe pour la rallonger un peu, puis attendit une signe du policier pour quitter cette horrible salle. S'il avait d'autres questions, il n'aurait qu'à les poser maintenant, ou bien en chemin, non? | |
| | | Sam Galloway AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
Nombre de messages : 673 Age : 35 HUMEUR : Insomniaque mais comblé^^ PHRASE FÉTICHE : L'érotisme est un pouvoir sexuel sans bornes, illimité, démesuré. Faut il le craindre ? LOVE : La haine nous ménera-t-elle à l'amour ? { Joanna } Date d'inscription : 30/03/2007
Interrogatoire As-tu tué Georgia?: Bien sur, c'est pour ça que j'enquête pour savoir qui l'a tuer...Pfff... Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: Tu veux vraiment savoir ? Culpabilité: (40/100)
| Sujet: Re: Interrogatoire particulier [PV.Joanna] Ven 6 Avr - 1:56 | |
| Elle me rappelait de plus en plus ma cousine que je détestais également, elles ont au moins ce point en commun, même si ce n’est pas très valorisant. Nous étions malgré tout très proche, c’était en quelque sorte ma grande sœur, elle avait environ 2 ans de plus que moi et elle faisait autant voir plus de connerie que moi ! Je ne la prenais pas en exemple, loin de là, je n’étais ni fou, ni suicidaire…Par contre elle, c’était une toute autre histoire. Depuis toute jeune, environ à l’âge de 8 ans elle a du s’occuper de son petit frère encore en bas âge à cause de la dépendance de sa mère à l’alcool. Mais plus ç allait et moins ma cousine, Lena, n’avait le temps de s’occuper de son frère, elle abandonna peu à peu l’école pour s’occuper de son frère qui devenait plus son fils d’ailleurs. Mais lorsque sa mère partit en cure de désintoxication, Lena cru vraiment que tout allait s’arranger et qu’elle pourrait enfin reprendre une vie normal . Mais après un mois d’absence, sa mère de retour, Lena avait tout préparé, la maison était propre, la table mise, le repas prêt et son petit frère se tenait prêt lui aussi tout beau et tout propre. Sa mère avait certes maigri mais elle paraissait aller mieux, seulement Lena s’aperçu rapidement que sa mère avait changé, elle était devenu maniaque et très autoritaire, accordant tout à son fils et délaissant sa fille qui avait tant fait pour elle. C’est alors qu’elle changea, elle aussi, elle devint arrogante, se protégeant de tout sentiment, n’ayant plus aucun but dans la vie. Elle ne voulait que s’amuser, rattraper les années qu’elle avait perdu à s’occuper des autres au lieu d’elle-même, elle tomba dans la drogue, fumant tout et n’importe quoi, sniffant quelques rails de coc’ de temps à autres et buvant toute sorte d’alcool, quitte à se bourrer jusqu’à ne plus se rappeler de son nom. Ses jupes devinrent plus courte, son sourire plus charmeur, aguicheur, ses manières plus féminines et sexy, j’étais moi-même tombé sous le charme. Sa mère devait supporter l’attitude de sa fille mais à chaque reproche de Lena, sa mère cédait et elle voyait un nombre incalculable de mecs défilaient dans la vie, enfin non dans le lit de Lena. Elle se foutait de tout et un jour, j’étais venu la voir je devais avoir environ 17 ans et demi, j’avais perdu mes parents il y a peu de temps et elle n’était même pas venu à l’enterrement de ma mère. Je lui en voulais vraiment, j’étais vêtu de noir, je portais encore le deuil de ma mère sur les épaules, une violente dispute éclata entre nous. Ma main partit trop vite, trop fort, et la gifla avec force ! Elle tomba à terre en mettant sa main sur la trace rouge qu’avait laissé ma main sur sa joue. Elle laissa alors ses barrières tomber, laissant les larmes coulaient sans retenu, elle se blotti alors dans mes bras et me raconta son histoire en détail. C’est une fille bien et grâce à cette dispute on a pu apprendre à mieux se connaître, on s’écrit et se téléphone parfois, elle est marié et à un beau petit garçon plus un travail honnête et bien payé. Si elle avait pu changé, Joanna le pourra aussi, je crois en elle, mes yeux sérieux et mon calme pouvait peut être perturbait la jeune demoiselle mais je tiendrais ma promesse. Crois moi Joanna. Sors de ma léthargie lorsqu’elle prit le calepin ainsi que le crayon, passe une main dans mes cheveux en baillant, j’étais vraiment fatigué, c’était fatiguant de faire ça à longueur de journée, je ne me rappelle même plus le soir où je me suis amusé dernièrement ! Je ne dors plus depuis longtemps mais bon…Cligne des yeux et hausse les sourcils en laissant un fins sourire se dessinait sur mes lèvres en voyant le dessin. Elle dessinait vraiment bien, le détail du trait et ce qu’elle a rajoutait vont vraiment nous aider, lève la tête vers elle en posant un regard fier d’elle sur la jeune femme. Reprend le crayon et tourne la feuille, notant au passage ce qu’elle me dit ça peut toujours servir on ne sait jamais !
Merci beaucoup, je pense que ça suffira pour le moment, il se fait tard et vous avez coopérer, je n’ai qu’une parole alors c’est terminé pour ce soir. Vous devrez juste signer la déposition qu’on vous présentera à la sortit de cette salle. Vous m’attendrez devant le commissariat, le temps de me changer et je vous raccompagne à votre appartement pour que vous puissiez vous reposez.
Garde mon attitude sérieuse, me lève en refermant mon calepin, me tourne vers la vitre et fait signe de tout couper, ce qu’ils firent en laissant la vitre redevenir transparente, il vit ses supérieurs satisfaits sortir de la salle d’observation. Ouf ! Me retourne et voit alors Joanna remettre bien sa jupe, c’est alors que je prend totalement conscience de l’envie in considérable que j’ai pour elle ! Et comme un con, j’accepte de la raccompagner chez elle ! Et me*de je me suis fais avoir ! Oh et puis tant pis, j’avais vraiment envie d’elle, ses long, fines et belle jambes, son physique de rêve, ses fesses, ses seins…J’en peux plus ! J’étouffe, vite font qu’on sorte, me dirige vers la porte, tape trois fois, puis deux, le garde nous ouvrit. Laisse passer Joanna et me dirige vers es vestiaires en essayant de me calmer, me retourne vers elle en marchant à reculons…
J’arrive tout de suite, n’oublie pas de signer ta déposition ! | |
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