Petite visite [PV. Lena]

Gare ma moto de sport noire devant l’immeuble, retire mon casque noir également, reste un instant assis sur ma moto, observant avec attention l’immeuble en question. Regarde ma montre, il est 18h, normalement Lena doit être là, je n’ai pas réussis à l’interroger encore et vu que c’est mon travail si j’ai bien calculé elle devrait être là à cette heure ci. Enlève mes gant de cuir que je mets dans mon casque, coupe le moteur et range mes clés dans la poche de mon blouson en cuir noir lui aussi, dézipe la fermeture éclair de mon blouson révélant ainsi ma chemise blanche rayé noir de chez Ralph Lauren. Remonte légèrement mon jean taille bas, bleu délavé et troué aux genoux, puis en attache ma moto pour éviter que l’on me la vole. Une fois prêt, je m’avance vers la porte d’entrée de l’immeuble, je vais éviter de sonner chez elle, il faut que je créé l’effet de surprise chez elle. Sonne chez un voisin à elle sûrement, quelque secondes après avoir sonner j’entend le bruit de la porte et l’ouvre. Essuie mes basket blanche sur le tapis de sol, vérifie l’étage et le nom sur les boîte aux lettres, puis me dirige tranquillement ver l’ascenseur. Entre à l’intérieur, appuie sur l’étage désiré et me tourne vers la glace. Me regarde un instant, passe une main dans mes cheveux, les ébouriffe, laissant apparaître un léger sourire en me voyant ainsi. Une sonnerie m’avertit que les portes de l’ascenseur allaient s’ouvrir, respire en regardant les portes, mon casque sous le bras, sort de l’ascenseur en regardant autour de moi.

Un long couloir menait à deux autres couloirs, hausse les sourcils ne m’attendant pas à ça, je pensais que tout serait indiqué mais apparemment je vais devoir me débrouiller, soupire, je suis lasse de mon travail parfois. Longe alors le premier couloir et regarde toutes les portes pour voir leurs numéro, d’un côté les chiffres paires et de l’autre les chiffres impair, au pif prend le couloir de droite, marche en essayant de ne pas trop faire de bruit pour ne pas déranger les gens. Bien sûre, il fallait prendre le couloir de gauche, lève les yeux au ciel et rebrousse chemin sortant ma plaque de flic de la poche intérieure de mon blouson. Une fois arrivé devant la porte de mademoiselle Miller, je sonne deux fois et présente ma plaque devant la porte, comme ça si elle regarde pas le trou elle verra qui je suis.

Il est 8h30 du matin et il faut déjà que Miss Miller se lève et fasse quelque chose de sa journée...Et oui, ce n'est parce qu'on a pas de boulot qu'il ne faut pas se bouger un peu....Enfin bref. Lena se leva en un soupire et se dirigea vers la cuisine. Elle se sortit un bol et son paquet de céréales "Fitness" qu'elle prend soin de prendre tous les matins. Et oui, pour Lena, sa ligne est quelque chose d'important, même si elle n'y prète pas tellement attention, en apparence. Enfin bref, après avoir passée dix minutes devant son bol de céréales au blé complet, elle alla dans la salle de bain et se prit une bonne douche bien chaude sous laquelle elle resta plus d'un quart d'heure...Mais ça, à la limite, on s'en fiche. Enfin bref, elle s'habilla d'un mini-short blanc, autour duquel elle passa une ceinture toute fine genre imitation or. En haut, elle portait un espèce de top-chemise noir qui ne se ferme que par une simple bande noire juste au dessus du nombril. Elle enfila ses bottes noires à talons éguilles, laissa ses cheveux détachés, prit ses clés et sortit de son appartement. Elle fila chez une amie avec qui elle passa toute son après-midi. Les deux jeunes femmes flanèrent dans les magasins, allèrent se poser dans un bar, firent les folles dans les rues puis retournèrent chez son amie. En clair, Lena passa toute son après-midi chez la jeune femme, ou plutôt avec la jeune femme. Il est maintenant 17h30. Lena rentrait maintenant chez elle. Elle gara son cabriolet noir sur sa place de parking habituel, rangea ses clés dans son sac et pénétra à l'intérieur de l'immeuble. En entrant dans le hall, elle se dirigea vers sa boîte aux lettres et prit son courrier. Elle remarqua alors la présence d'une moto noire guarée devant l'immeuble. Elle plissa les yeux et secoua la tête. Et voila que la Miss Miller se faisait des films...Enfin bref. Elle remonta donc chez elle et se mit à l'aise. Elle retira ses bottes, alluma sa chaîne hifi et se laissa tomber sur son canapé, une pile de feuille blanche sur la table basse et un crayon à papier dans la main, et voila, Lena était repartie dans ses dessins....A peine une demi heure plus tard, quelqu'un vint sonner à la porte. Elle soupira et se dirigea vers la porte d'entrée. Avec l'habitude, elle regarda par le trou et vit la plaque d'un inspecteur de police. Genial! Elle souffla, soupira, se passa la main dans ses cheveux blonds puis déverrouilla la porte et afficha un joli sourire. Elle ouvrit donc la porte et opta pour un ton surpris...

- Tiens! Monsieur l'inspecteur?! Que me vaut l'honneur de cette visite?

Demanda-t-elle tout en restant dans l'ouverture de la porte.

[Désolé du petit post et du retard de ma rép miss^^]

Quelques minutes d’attentes plus tard, je vois la tête de Lena passé dans l’entrebâillement de la porte, puis je vois peu à peu le reste de son corps. Laisse un instant ma plaque bien en évidence puis la range dans mon blouson de moto, mets les mains dans les poches arrières de mon jean tout en détaillant la jeune femme. Assez grande, 1m70/75 je dirais, blonde, cheveux court, assez mince. Le comportement maintenant, elle a l’air lasse signe de fatigue peut être vu qu’aucun policier n’est encore venu l’interroger, peut être une longue journée j’en sais rien. Son ton surpris me laisse croire qu’elle s’attendait à recevoir un flic dans pas longtemps et peut être même qu’elle a du attendre un bout de temps ! Elle sait très bien de quoi je parle et je dois sûrement la déranger. Enfin bref, on va s’arrêter là pour le moment, je repasse en mode humain parce que je commence à me faire peur^^ ! Me racle un instant la gorge, garde mon air sérieux, puis dit calmement..

Bonsoir, excusez moi de vous dérangez je viens pour vous poser quelques questions sur l’affaire Georgia. Je sais qu’il est un peu tard mais ça vous dérangerez de me faire entrer, nous serons plus à l’aise j’en ai pour un petit moment. C’est une interrogation préliminaire avant la déposition au commissariat de police.

Reste droit et stoïque devant la porte de la jeune femme, attendant qu’elle m’ouvre pour que j’entre et pour que l’on commence à parler. J’espère pour elle qu’elle a un alibi en béton, qu’elle n’a pas un comportement suspect et…Que son appartement est bien rangé je déteste le désordre (xD) !

[désolée du retard^^]

Lena se tenait toujours dans l'entrebaillement de la porte, ne laissant percevoir que le couloir qui menait au salon. Derrière la porte, Lena jouait un peu avec la poignet de la porte. Elle ne s'attendait vraiment à pas voir un inspecteur se ramener chez elle, quoique, depuis le temps qu'elle n'en avait pas vu....Enfin bref. L'inspecteur Galloway, elle avait vu son nom inscrit sur sa plaque, resta un instant le bras en l'air à lui montrer "ses papiers" et Lena le trouvait carrément pathétique...Mais bon, il y en avait des comme ça...Elle observa, calculatrice, l'inspecteur. Elle comprit alors que c'était lui, le motard garé en face de l'immeuble quand elle était rentrée chez elle. Elle plissa légèrement les yeux, regardant plus attentivement, les détails. Son style n'avait pas vraiment grand chose à voir avec le stle des flics à proprement dit. Il avait l'air plus cool et moins grave que les autres...Enfin, cela ne pouvait être qu'une simple apparence mais une chose est sûre, c'est que Lena l'espérait beaucoup. C'est alors que cet inspecteur qu'elle regardait tout en attendant une réponse à la question qu'elle avait posée, lui répondit enfin que c'était pour lui poser des question sur l'affaire Georgia. Lena soupira, se passa la main dans les cheveux et se décia à ouvrire la porte en grand. Elle se dirigea ensuite vers le salon, laissant l'inspecteur sur le pas de la porte.

Entrer....Fermer la porte après s'il vous plait...

Elle allait vers la chaîne hifi et l'arrêta. Elle revint alors s'assoir sur le canapé, laissant ses dessins sur la table basse. Elle croisa les jambes et invita le flic à s'assoir sur le fauteuille en face d'elle avec un signe de la main...

Je ne vais pas vous être d'une grande aide de toute façon...Je ne sais rien et je ne vois pas pourquoi j'en saurais d'avantage...

Jette un petit coup d’œil à l’intérieur de l’appartement lorsque Lena entrouvrit un peu plus sa porte, elle n’a aucune crainte à avoir, je ne vais pas lui faire de mal mais j’ai plus l’air de la déranger qu’autre chose ! Mais bon, j’ai l’habitude dans mon métier, on n’est pas souvent apprécié des autres mais peu importe je me fiche de mon taux de popularité comparé à la jolie blonde se tenant debout face à moi. A ce que j’ai lu dans mon rapport, la jeune fille voulait absolument rentrer dans le cercle d’amies de Georgia, en vain. En effet, elle était très sélective et malgré les efforts qui fit Lena, elle n’avait jamais réussit à se faire accepter de Georgia mais ce n’est pas faute d’avoir fait preuve de mauvaise volonté ! Lève les yeux au ciel lorsqu’elle ouvrit la porte et partit en me tournant le dos direction son salon, j’ai beau avoir l’habitude d’être accueillis ainsi, ça ne fait jamais plaisir ! Bref, entre et referme la porte derrière moi, en profitant au passage pour mémoriser chaque recoin de son appartement. Regarde les photos accrochées au mur ou posé sur les meubles, apparemment elle n’avait pas l’air native de La Salle à ce que je peux voir sur les photos, les lieux étant souvent différent d’ici. Hoche la tête en souriant lorsqu’elle m’indiqua le fauteuil, m’y assoit en posant mon casque à mes pieds, sort mon calepin et un stylo de ma poche intérieure. Puis regarde à nouveau Lena…

Nous savons que vous vouliez plus que tout être auprès de la jeune Georgia en vain, nous ne savons pas pourquoi elle ne vous acceptait pas, en tout cas c’est une raison pour vouloir la tuer. Chaque personne ayant connu ou approché Georgia est interrogé, vous ne l’avez pas encore été, je me charge donc de vous avant de vous donner un rendez-vous pour faire une déposition au poste de police.

La laisse assimiler tout ce que je viens de dire sans broncher, puis appuis sur mon bic pour faire sortir la pointe du stylo, griffonne quelques mots sur la feuille de papier vierge puis relève mon regard vers la jeune femme. Me racle la gorge puis demande en haussant les sourcils d’un air interrogatif…

Que faisiez vous le jour et le soir du meurtre ?

Lena laissa parler l'inspecteur. La barbe! La Miss Miller en avait vraiment marre qu'on l'assimile à ce meurtre. Elle n'avait rien fait et n'en avait vraiment pas l'intention. Elle ne comprennait pas pourquoi elle était suspecte alors qu'elle ne voulait que faire parti de son cercle d'ami, point final. Il est vrai que Lena avait beaucoup essayée mais en vain. Elle n'y arrivait pas et pourtant, elle ne voyait pas pourquoi elle faisait partie des suspects...Enfin bref, c'est la police, aller savoir pourquoi...Enfin bref. En écoutant ce que lui racontait ce flic, elle leva les yeux au ciel, joua un peu avec ses mains et ferma les yeux. A la fin de son récit, elle souffla légèrement et s'enfonça dans son canapé.

Ecoutez, il est vrai que j'ai essayée de faire parti des amis de Georgia mais franchement, je ne vois pas l'interêt de la tuer pour ça! J'aurais vraiment été ecervellée de faire ça! Sérieusement, j'ai une tête à tuer quelqu'un? Je sais, vous n'allez pas me répondre. Normal, vous êtes un flic et les flics, il en ont rien à foutre de ce que dise les prétendus suspects...Et ouai, c'est la vie!

Et voila, Monsieur l'inspecteur avait réussit à faire monter les larmes aux yeux de la Miss Miller. Elle prit sa tête dans ses mains et se leva d'un bon. Elle se dirigea vers la cuisine et se servit un grand verre d'eau. Elle souffla un coup et retourna s'assoir sur le canapé...

Excusez-moi....Où j'étais? J'étais à New-York avec ma meilleure amie et ma mère.

Lena mentait-elle? Non, jamais elle ne ferait cela, même pas pour tout l'or du monde...Et encore...

Ouvre de grands yeux lorsque celle-ci avait les larmes aux yeux, est ce que j’avais vraiment dit quelque chose de blessant ?! J’ai beau me creuser la tête je ne vois vraiment pas, grimace lorsqu’elle se lève pour aller se servir un verre d’eau, me gratte alors l’arrière du crâne ne sachant pas comment réagir face à une telle situation. Je suis un flic bête et discipliné, on me donne un planelle d’attitude et de questions et je l’applique à la lettre sans chercher à comprendre, c’est pourtant pas si compliqué à comprendre. Me lève à mon tour et pose une main sur l’épaule de la jeune femme, ne voulant vraiment pas lui faire de la peine, plisse légèrement les yeux en souriant faiblement…

Vous savez, je n’ai rien contre vous, je me contente juste de faire mon travail avec plus ou moins de facilité. Et si ça peut vous rassurez, non vous n’avez pas la tête d’une tueuse mais je suis obligé de vous posez ces questions pour pouvoir avancé dans nos recherches sur le meurtrier de Georgia. Et je n’ai est pas rien à fouttre de ce que dise les suspects, ce n’est pas parce qu’on garde un air sérieux et impassible que nous ne sommes pas humains. Etre flic n’est pas facile tout les jours mais il faut bien des gens comme nous pour s’occuper du sale boulot sinon personne ne le fera.

Ecoute son alibi, enlève ma main de son épaule pour tenir le calepin d’une main et écrire de l’autre, le lieu, les personnes l’accompagnant et d’autres informations que moi seul détecte comme par exemple l’intonation de la voix ou d’autres indics pouvant m’aider. Relève la tête vers elle pour voir si ça va mieux et enchaîne en gardant un petit sourire en coin pour faire moins sérieux et détendre un peu l’atmosphère tendu qui règne dans l’appartement…

Ce n’est pas grave, bien donc vous avez un alibi, une chance pour vous sois dite en passant ! Est-ce que vous connaissiez des personnes pouvant en vouloir à Georgia dans la petite ville de La Salle par hasard ?

C'est tout de même bizarre qu'un flic ausi pathétique au premier abord puisse être aussi proche de la réalité lorsqu'il qualifie son métier...La première réaction qu'elle eue quand il lui posa sa main sur son épaule était de le rejetter mais elle n'eue pas la force de le faire une nouvelle fois. LE truc, c'est qu'il appuyait sur un point qui lui faisait toujours autant mal: le fait que Georgia ne l'ai pas acceptée...Peut-être était-ce parce qu'elle était trop gentille, pas assez mure à son goût, trop petite fille? Ca, c'est une question qui restera sans réponse, comme la plupart des questions qui tournaient dans la tête de Lena à cet instant présent. Enfin bref. L'inspecteur lui refit un "discours" donc, ce qui fit légèrement sourire d'ironie Melle Miller...

Ouai...Le boulot....C'est un sal métier d'être flic! C'en est un encore plus dur à supporter lorsqu'on est suspecte et que personne ne vous croit...

Elle soupira, baissa la tête et écouta la suite. Le "vilain" flic tentait de détendre l'atmosphère quelques peu tendue mais c'était loin d'avoir l'effet attendu. Lena était encore plus tendue, sur la défenssive et stresser qu'au début...

J'en sais rien et qu'est-ce que vous voulez que j'en sache d'abord, hein? I n'y avait pas grand monde qui l'appréciait alors tout le monde peut être un tueur, ou une tueuse potentiel....
D'ailleurs, je ne sais même pas pourquoi je vous ai dit que j'était a New-York puisque je ne sais même plus où j'étais le soir du meurtre...

Elle soupira et leva les yeux au ciel. Cette fois-ci, ell était sûre de dire la vérité. Maintenant, comment allait réagir Monsieur L'Inspecteur?...

Je suis tout à fait au courant de ce que pense les gens sur le métier de flic et je sais très bien que peu de monde nous porte dans leur cœur, mais il faut bien des gens pour défendre et faire appliquer les loi et tant pis si nous ne sommes pas apprécié à notre juste valeur à cause de quelques abrutis qui ont fait pas mal de connerie et qui ternissent l’image de la police. Laisse un instant ma main sur son épaule, je n’ai pas pitié loin de là, je compatis juste sachant très bien ce que ça fait de se faire interroger par un policier. J’en ai vu des dizaines et j’ai du raconter mon histoire des tas de fois, c’est pour ça que je ménage toujours ceux que j’interroge et qui sont coopérant avec moi. En général, tout se passe bien mais là c’est la première fois que je fais pleurer une jeune femme sans l’avoir mal mené avant ! Enlève ma main et aperçoit son sourire ironique, que je connais si bien, croise les bras sur mon torse puis réplique en souriant toujours faiblement…

Oui c’est un sale métier, seulement il faut bien des gens pour faire ça et je préfère mettre tout en œuvre pour rendre le monde moins pourri au lieu de le regarder se détruire et devenir ainsi sans rien faire. Je sais ce que s’est aussi, mais si vous avez un alibi je ne vois pas pourquoi vous vous en feriez. Ne vous inquiétez pas je ne pense pas rester longtemps, encore quelque questions et j’arrête de vous embêtez pour ce soir.

Soupire en entendant son ton, me recule un peu pour ne pas qu’elle se sente étouffé par ma présence, ne tente pas de la calmer après tout je suis flic et pas psy ! L’écoute et note les informations qu’elle me dit sur mon calepin, hochant de temps à autres la tête durant son court récit. Relève lentement la tête lorsqu’elle me dit qu’elle ne sait plus où elle était le soir du meurtre…

C’était il y a 5 ans, c’est un peu normal, seulement maintenant vous n’avez plus d’alibi. Vous n’avez pas l’air d’être une tueuse mais j’ai vu tant de chose dans mon métier que je ne dois écarter personne, tout le monde est suspect même moi c’est pour vous dire !

Je suis bien obligé de lui dire la vérité, ça ne servirait à rien si je lui disais que ce n’était pas grave et que ça irait, elle est honnête avec moi je le suis avec elle. C’est normal, du moins c’est comme ça que je fonctionne…

Lena le laissa parler. Ouai, elle avait un alibi, enfin, pas si sûre que cela en fait...En fait, c'était bizarre. Lena sentait que l'ambiance était à la fois tendue mais pleine de compasion et ça, elle ne pouvait pas le supporter. Cela la désespérait complètement mais bon, au point ou elle en était...Enfin bref. Lena était décidément bien décidée à faire changer cet atmosphère complètement ridicule. C'est un interrogatoire comme les autres après tou. Certes un peu stressant mais bon, elle n'a rien à cacher après tout, elle est sûre de ne pas l'avoir tuée alors pourquoi aller chercher plus loin...Alors il lui dit qu'il arrêterait de l'embetter pour ce soir...Mais bien sûr...Pour ce soir seulement...

- Ouai, pour ce soir...

Elle soupira légèrement. Elle savait très bien qu'elle allait avoir droit d'être cuisinée à la fois ici mais au poste aussi alors tant qu'à faire, autant partir défaitiste, d'autant plus qu'elle venait tout juste de lui dire qu'elle n'avait plus d'alibi, et là, c'est le drame assuré. Si elle n'a pas sauttée de son balcon d'ici là, tout ira bien. Ce qui n'arrivera évidement pas puisque, lorsque les flics ne sont pas là entre autre, Lena est la joie de vivre incarnée. Mais ça, c'est un aspect que les flics ne connaisse pas de sa personnalité. Enfin bref. Galloway lui dit qu'ell n'avait donc plus d'alibi et qu'elle n'avait pas une tête de tueuse mais qu'il avait vue des cas similaire en queqlues sortes et que même lui était suspect...il ne manquait plus que ça...un flic suspect...Où va le monde?Enfin bref...

Et ouai, ainsi va la vie....Bon, j'propose de détendre un peu l'atmosphère si ça vous dérange pas parce que moi, ça me donne la nosée...

Dit-elle en levant les yeux au ciel. Lena avait un caractère bien trempé mais de là à virer quelqu'un de chez elle, il ne faut pas pousser non plus...Elle se passa la main dans les cheveux puis souria légèrement en coin.

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