Nancy Summers
AUTORITÉ LOCALE J'en fais baver aux suspects, et alors?
 Nombre de messages : 287
Age : 34
HUMEUR : Versatile mais toujours hautaine !
PHRASE FÉTICHE : Je ne suis pas un modèle d’amabilité mais j’ai la classe et l’élégance ça compense !
LOVE : L’amour n’a été conçu que dans l’espoir de rendre heureux les plus faibles.
Date d'inscription : 01/04/2007
Interrogatoire
As-tu tué Georgia?: Mon rôle était de veiller sur elle, qu’elle question incongrue !
Où étais-tu, lors de la mort de Georgia?: Sûrement avec un client ou entrain de faire mon taf, danser sur le comptoir !
Culpabilité:
    (85/100)
 | Sujet: *Forteresse de solitude* (libre)  Mer 11 Avr - 21:14 | |
| Il était environ 20 heures, nous étions un samedi soir, un soir de pleine lune, signifiant la nuit des choses des plus étranges et mystiques. Le ciel qui s'assombrissait, parsemé ça et là de nuages grisâtres, rendait l'atmosphère encore plus sinistre qu'elle ne l'était déjà. Tout était si calme, si paisible... que la ville semblait être inhabitée. Une seule personne traînait dans le centre, du moins la seule à le faire sans se cacher, il s'agissait de Nancy Summers redoutable flic corrompus œuvrant pour elle seule avec des pratiques assez litigieuses, une vagabonde solitaire plus froide que la glace. Bien que vivant maintenant ici, dans cette ville à La Salle, ces derniers temps la jeune femme était resté en retrait de tout, et ne connaissait pas les dernières nouveautés, ni criminelle les dernières personnes susceptibles de lui donner des renseignements sur la mort de son amie Georgia, loin de la ville, du bruit, de la pollution, de tout ce qui faisait de cette ville une des plus grande ville de l’Etat.
Ce soir là, elle avait décidée de ressortir un peu de chez elle, quittant un instant l’hôtel de la ville ou elle avait momentanément posée ses affaires, enfin si l’on peut appeler cela des affaires. En effet miss Summers qui voyageait beaucoup ne prenait à chaque fois qu’un simple sac de sport ou pouvait y contenir les choses primaires et plus importantes pour la jeune femme, qu’elle appelait kit de survie. Mais il y’avait une chose sacrée que la jeune brune gardait toujours profondément dans son sac, tel un trésor précieux et sacré, la photos d’elle et Giorgia, qu’elle s’est jurée de venger quoi qu’il arrive.
Elle était plutôt du genre renfermée, à ne rien ressentir pour personne, ni pour aucune situation...Voilà pourquoi elle avait finalement décidée de se rendre ici dans ce parc parsemé d’obscurité par la nuit, espérant trouver du calme et de la sérénité, faisant une croix sur toutes émotions, ses parents, Giorgia, bref tout ce qu’elle avait de plus cher. Elle détestait ça... les émotions, ce sentiment de faiblesse qu’elle combattait chaque jour ardemment, pour devenir cette femme froide et perfide n’ayant plut qu’un but, de savoir la sombre vérité de cet assassin.
Ne voyant rien d'intéressant sur son chemin, elle marcha jusqu'à l'endroit où ses pas la guidèrent, et arriva devant un petit parc quelque peu détruit et taggé par endroits. Bien qu'un peu perplexe, elle y entra tout de même. Elle chevaucha de nombreux débris multicolores de sculptures à présent en miettes, et se dirigea vers un semblant de banc. Elle enleva les poussières et pierres étalées contre le métal froid du banc, puis s'y installa ensuite.
...
Sa tête était à présent vide, elle ne voulait penser à rien... Elle se contenta de regarder vaguement en face d'elle, le menton callé dans ses mains. Bien entendu, son fidèle 9 millimètres était toujours précautionneusement dissimulé dans une de ses poches intérieure de sa longue veste noire, elle ne sortait jamais sans minimum de défense. Même si, exeptionelement aujourd'hui, ses idées et pensées n'étaient pas axées sur le désir de meurtre, il fallait toujours se méfier des autres... Il n'y avait, dans cette ville, aucune place pour la confiance, étant le plus grand défaut de chacun que miss Summers s’était jurée de renier et d’éliminer de sa tête, la rendant plus forte. | |
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